Tradition Catholique (Sede Vacante)
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 Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12

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Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12 Empty
MessageSujet: Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12   Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12 EmptyMar 23 Fév - 19:26

Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12

Citation :
Ils font toutes leurs actions pour être vus des hommes, car ils élargissent leurs phylactères et allongent leurs houppes ;
ils recherchent les premières places dans les repas, les premiers sièges dans les synagogues,
les saluts sur les places publiques, et l’appellation de Rabbi.
Pour vous, ne vous faites point appeler Rabbi, car il n’est pour vous qu’un seul maître, et vous êtes tous frères.
Et ne donnez à personne sur la terre le nom de Père, car il n’est pour vous qu’un seul Père, celui des cieux.
Et qu’on ne vous appelle pas non plus Maître, car vous n’avez qu’un Maître, le Christ.
Le plus grand d’entre vous sera votre serviteur. Quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé.

http://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89vangile_selon_Saint_Matthieu_-_Crampon#Chapitre_23

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https://mostholytrinityseminary.org/contact/

http://www.traditionalmass.org/contact/

" Nihil Deo et angelis gratius animae conversione."
" Rien n'est plus agréable à Dieu et aux Anges que la conversion d'une âme."

Saint Ambroise, évêque de Milan.
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MessageSujet: Re: Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12   Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12 EmptyMar 23 Fév - 19:30

Commentaire par Saint Thomas d'Aquin.

Verset 5-12


http://docteurangelique.free.fr/index.html

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72.) Après avoir accusé les scribes et les pharisiens de cruauté et tout à la fois de négligence, il leur reproche leur amour de la vaine gloire, qui a été la cause de leur éloignement de Dieu, et c’est pour cela qu’il ajoute : « Ils font toutes leurs oeuvres pour être vus, » etc.

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Toute chose créée donne naissance à ce qui doit la faire périr : ainsi le bois donne naissance au ver, et la laine à la teigne. C’est pourquoi, le démon s’efforce de corrompre le ministère des prêtres qui sont établis pour former les peuples à la sainteté, afin de tourner en mal le bien qu’ils font, en leur donnant pour unique motif la gloire qui vient des hommes. Faites disparaître ce vice du milieu du clergé et vous retrancherez facilement tous les autres, car c’est le vice qui rend si difficile la pénitence aux prêtres coupables. Or le Seigneur veut nous apprendre la raison qui les a empêchés de croire au Christ : c’est qu’il font tout pour être vus des hommes, car il est impossible de croire au Christ, qui n’annonce que les biens du ciel, alors qu’on recherche la gloire toute terrestre qui vient des hommes. J’ai lu l’interprétation suivante de ce passage : Les scribes et les pharisiens, tout indignes qu’ils en étaient, ont été établis sur la chaire de Moïse, c’est-à-dire ont été revêtus de la même dignité et du même honneur ; ils expliquaient aux autres la loi qui annonçait l’avènement du Christ, et ils refusaient de le recevoir lorsqu’il était sous leurs yeux. C’est pour cela que le Sauveur exhorte le peuple a écouter la loi qu’ils enseignaient, c’est-à-dire à croire au Christ que prédisait la loi, et à ne pas imiter l’incrédulité des scribes et des pharisiens ; et il donne la raison pour laquelle, tout en annonçant d’après la loi l’avènement du Christ, eux-mêmes ne croyaient pas en lui, c’est qu’ils faisaient toutes leurs oeuvres pour être vus des hommes, c’est-à-dire qu’ils n’annonçaient pas la venue du Christ par le désir qu’ils avaient de son avènement, mais pour paraître les docteurs de la loi aux yeux des hommes.

Origène :

Ils font leurs oeuvres afin d’être vus des hommes, en se soumettant à la circoncision extérieure, en faisant disparaître, en présence de. tous, les choses fermentées de leurs maisons, et en agissant ainsi à l’égard de toutes les autres observances, tandis que les disciples de Jésus-Christ accomplissent la loi eu secret, et sort ainsi comme ces Juifs intérieurs dont parle l’apôtre saint Paul (Rm 4, 28.29).

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72.) Observez ici avec quelle intention bien marquée le Seigneur leur adresse ce reproche, car il ne dit pas simplement : Ils font leurs oeuvres pour être vus des hommes, mais, « toutes leurs oeuvres. » Il montre ensuite que cette vaine gloire s’attachait, non pas à des choses importantes, mais à de misérables observances : « Ils élargissent leurs bandes de parchemins, » etc.

Saint Jérôme :

Lorsque le Seigneur eut donné à son peuple la loi par Moïse, il termina en disant : « Vous lierez mes commandements comme un signe dans votre main, et ils seront toujours devant vos yeux, » c’est-à-dire mes commandements seront toujours dans vos mains par votre fidélité à les accomplir ; ils seront toujours devant vos yeux, comme le sujet de votre méditation le jour et la nuit (Dt 4). Les pharisiens, par suite d’une fausse interprétation de ces paroles, écrivaient sur des feuilles de parchemin le Décalogue de Moïse ou les dix commandements ; ils les pliaient ensuite et se les attachaient au front ou autour de la tête comme une espèce de couronne, afin de les avoir sans cesse sous les yeux. Moïse avait encore ordonné aux Israélites de mettre des franges de couleur hyacinthe aux quatre coins de leurs manteaux, pour distinguer ainsi le peuple Juif des autres nations par les vêtements, comme il l’était dans son corps par la circoncision. Mais ces docteurs superstitieux, pour gagner la faveur populaire et tirer l’argent des bonnes femmes, se faisaient de grandes franges et y plaçaient des épines très aiguës, de manière à en être piqués lors qu’ils marchaient ou s’asseyaient, et à être ainsi rappelés par ce souvenir à la pensée du service de Dieu. Ils appelaient phylactères ces larges bandes, mot qui revient à celui de conservateurs, parce que ceux qui les portaient s’en faisaient comme une armure qui les protégeaient. Les pharisiens ne comprenaient pas que c’est dans le cœur et non sur le corps qu’ils auraient dû porter ces souvenirs. Les armoires et les coffres ont-ils la connaissance de Dieu, parce qu’ils tiennent renfermés les livres ou se puise cette connaissance ?

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Il en est un grand nombre qui, à l’exemple des pharisiens, imaginent certains noms hébreux des anges, qu’ils écrivent et qu’ils lient autour d’eux, ce qui paraît merveilleux à ceux qui n’y comprennent rien. D’autres portent autour de leur cou une partie de l’Évangile ; mais est-ce que tous les jours l’Évangile n’est pas lu et entendu dans l’église par les fidèles ? Or, si l’Évangile ne sert de rien à ceux qui l’écoutent, comment peut-il sauver ceux qui se contentent de le porter autour du cou ? car enfin où réside la vertu de l’Évangile ? Est-ce dans la forme des lettres ou dans l’intelligence des sens multipliés qu’il renferme ? Si c’est dans la forme des lettres, vous faites bien de le porter suspendu autour de votre cou ; mais, si c’est dans l’intelligence des sens, il vous sera bien plus utile de le porter dans votre cœur que de le suspendre autour de votre cou. D’autres entendent ce passage dans ce sens que les pharisiens développaient continuellement leur doctrine sur leurs observances particulières, et qu’ils les présentaient continuellement au peuple comme des phylactères (c’est-à-dire des choses conservatrices de la doctrine du salut). Les franges longues et développées de leurs robes sont les parties les plus excellentes de ces mêmes préceptes.

Saint Jérôme :

Après leur avoir reproché de porter des bandes de parchemin plus larges et des franges plus longues que les autres, par un motif de vaine gloire, le Sauveur passe à d’autres chefs : « Ils aiment les premières places dans les festins, à être salués dans les places publiques, » etc.

Raban :

Remarquez qu’il ne défend pas de recevoir le salut sur les places publiques, ou d’occuper les premières places dans les assemblées ou dans les festins à ceux à qui ces honneurs sont dus en raison de leur dignité ou de leur position ; mais qu’il blâme seulement ici ceux qui exigent outre mesure des fidèles ces marques d’honneur, qu’ils y aient droit ou non, et leur reproche de donner en cela un mauvais exemple qu’il faut éviter.

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Il ne blâme pas ceux qui occupent la première place, mais ceux qui aiment les premières places, et ses reproches tombent, non sur le fait, mais sur la volonté, car c’est bien inutilement qu’on s’humilierait en prenant la dernière place, si intérieurement on se croit digne de la première. Voici par exemple un homme plein de vanité qui a entendu dire qu’il était louable de prendre la dernière place, et qui s’y asseoit en effet ; non-seulement il ne renonce pas à la vanité, mais il y ajoute encore la prétention à l’humilité, c’est-à-dire qu’il veut paraître juste et humble tout à la fois. Il y a beaucoup d’orgueilleux qui, de fait, sont assis à la dernière place, mais qui, par l’enflure de leur âme, vont s’asseoir à la première, de même qu’il en est beaucoup qui occupent les premières places, et qui, parleurs sentiments d’humilité, ne se croient dignes que de la dernière.

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72). Or, considérez dans quels endroits ils se laissent dominer par la vaine gloire, c’est dans les synagogues où ils entraient pour diriger les autres. Cette prétention aurait pu être supportable en quelque sorte dans les festins, quoique celui qui est chargé d’enseigner les autres doive être un objet d’édification, non-seulement dans l’église, mais partout où il se trouve. Or, si l’on est coupable d’aimer ces distinctions, combien plus l’est-on de chercher tous les moyens de les obtenir.

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Ils veulent qu’on les salue les premiers, parce qu’ils désirent qu’on les prévienne, qu’on exprime ce salut à haute voix, en disant : « Je vous salue, maître, » qu’on y ajoute les marques extérieures du respect en inclinant la tête, et qu’on choisisse le lieu en les saluant sur les places publiques. « Et ils aiment, dit Notre-Seigneur, « être salués sur les places publiques. »

Raban :


Ils sont d’ailleurs coupables encore de se mêler aux disputes de la place publique, eux qui, assis sur la chaire de Moïse, ambitionnent le titre de docteur dans la synagogue et qui veulent être appelés maîtres par les hommes.

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Ils veulent être appelés maîtres, mais ils se soucient peu de l’être en réalité. Ils désirent en porter le nom, mais sans en remplir les fonctions.

Origène :

Jusque dans l’Église de Jésus-Christ, il en est qui désirent l’intendance des tables, et qui cherchent à se faire nommer diacres. Ils en viennent bientôt jusqu’à ambitionner les premières chaires, qui appartiennent aux prêtres, et quelques-uns même ont recours aux intrigues pour obtenir des hommes le titre d’évêque, c’est-à-dire celui de maître. Or le disciple de Jésus-Christ aime aussi les premières places, mais dans les festins spirituels, pour s’y nourrir des mets les plus exquis ; il aime encore les premières chaires, mais en compagnie des apôtres, qui sont assis sur douze trônes, et il s’efforce de s’en rendre digne par ses bonnes oeuvres. Il aime enfin à être salué, mais dans la grande réunion du ciel, c’est-à-dire dans l’assemblée des premiers-nés qui sont assis dans le ciel (He 12, 22) ; mais le vrai juste ne désire être appelé maître ni par les hommes, ni par aucun autre, parce qu’il n’y a qu’un seul maître de tous les hommes : « Pour vous, ne vous faites pas appeler maîtres, » etc.

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72.) Parmi les différents chefs d’accusation que le Sauveur a formulés plus haut contre les pharisiens, il passe sous silence ceux qui étaient les moins importants, et contre lesquels les disciples avaient moins besoin d’être prémunis ; mais il s’attache à mettre dans tout son jour, pour leur instruction, ce qui était la source de tous les autres vices, le désir, l’ambition d’occuper la chaire des docteurs et des maîtres ; et c’est pour cela qu’il leur dit : « Pour vous, ne vous faites pas appeler maîtres. »

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Ne vous faites pas appeler maîtres, pour ne pas usurper ce qui n’appartient qu’à Dieu ; ne donnez pas non plus ce nom de maître aux autres hommes, pour ne pas leur attribuer l’honneur qui n’est dû qu’à Dieu. Il n’y a qu’un seul maître de tous les hommes, celui qui les enseigne tous par la voix de la nature. Si c’était l’homme qui instruit l’homme, tous ceux qui suivent les enseignements des maîtres apprendraient facilement, mais ce n’est pas l’homme qui enseigne, r’est Dieu. Aussi en est-il beaucoup qui reçoivent les leçons de l’homme, mais peu qui deviennent instruits, car ce n’est pas l’homme qui, par son enseignement, donne l’intelligence, il ne fait qu’exercer par sa parole l’intelligence qu’on a reçue de Dieu.

Saint Hilaire :

(can. 74.) Et afin que ses disciples se rappellent qu ils sont les enfants d’un seul et même Père, et que la grâce de leur nouvelle naissance les a élevée au-dessus de leur origine terrestre, le Sauveur ajoute : « Vous êtes tous frères. »

S. Jérome:

(contre Helvid.) Or, on peut donner par affection ce nom de frères à tous les hommes, ce qui peut se faire de deux manières : en particulier, pour les chrétiens qui sont tous frères entre eux ; et, en général, pour tous les hommes, car, étant tous sortis d’un même père, nous sommes tous unis par les liens de la fraternité.

« N’appelez aussi personne sur la terre votre père, » etc.

Saint Jean Chrysostome :

(sur S. Matth.) Quoique sur la terre ce soit l’homme qui donne naissance à l’homme, cependant il n’y a qu’un seul Père qui nous a tous créés, car ce n’est pas le principe de la vie, mais la simple transmission de la vie que nous recevons de nos parents.

Origène :

Mais quel est celui qui ne donne à personne le nom de Père sur la terre ? Celui qui par toutes ses actions accomplies selon la volonté de Dieu lui dit : « Notre Père qui êtes dans les cieux. »

La Glose :

Notre-Seigneur venait de leur enseigner clairement quel était le Père de tous les hommes, par ces paroles : « Qui est dans les cieux ; » il veut également leur apprendre quel est le maître de tous les hommes, et c’est pour cela qu’il répète de nouveau ce commandement : « Qu’on ne vous appelle point non plus maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, qui est le Christ »

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72.) Il dit que le Christ est le seul maître, non point par exclusion du Père, pas plus que ce n’est par exclusion du Fils qu’il appelle Dieu le Père le seul père de tous les hommes.

Saint Jérôme :

On se demande comment, contrairement à ce précepte, l’Apôtre s’est appelé lui-même le docteur des nationS (1 Tm 2), et pourquoi aussi, dans les monastères, les religieux, dans le langage ordinaire, se donnent réciproquement le nom de pères. Nous répondons qu’il y a deux manières différentes d’être père ou maître : l’une par nature, l’autre par condescendance ou par concession. C’est ainsi qu’en donnant à un homme le nom de père nous honorons son âge, sans le reconnaître pour l’auteur de nos jours. Nous l’appelons également maître, à cause de son union avec le véritable Maître, et, pour ne pas me répéter à l’infini, de même qu’un seul Dieu et un seul Fils de Dieu par nature n’empêchent pas que les hommes soient appelés dieux ou enfants de Dieu par adoption, de même un seul Père et un seul Maître ne font pas obstacle à ce que le nom de pères et de maîtres soit donné aux hommes par extension.

Saint Jean Chrysostome :

(hom. 72.) Le Seigneur ne se contente pas de défendre d’ambitionner les premières places, mais il veut faire entrer ses disciples dans une voie tout opposée, en ajoutant : « Celui qui est le plus grand parmi vous sera le serviteur des autres. »

Origène :

Ou bien encore : Celui qui distribue la parole de Dieu, et qui sait à n’en pouvoir douter que c’est Jésus-Christ qui la rend féconde, se considère non pas comme maître, mais comme serviteur. C’est pour cela qu’il ajoute : « Celui qui est le plus grand parmi vous sera votre serviteur, » car Jésus-Christ lui-même, qui était véritablement maître, n’a-t-il pas déclaré qu’il était serviteur en ces termes : « Je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Lc 22) ? Or, il termine admirablement tous ses enseignements qui proscrivent l’amour de la vaine gloire par ces paroles « Car quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’humiliera sera élevé. »

Saint Rémi :

Paroles dont voici le sens : Tout homme qui s’enorgueillit de ses propres mérites sera humilié devant Dieu, et celui qui ne se glorifie que des grâces qu’il a reçues de Dieu sera élevé aux yeux de Dieu.

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Evangile selon Saint Matthieu , chap 23 ; verset 5 - 12
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