Tradition Catholique (Sede Vacante)
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JP B
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MessageSujet: Résultat…   Résultat… EmptySam 21 Sep - 12:32


Résultat de l'apostasie de notre société anciennement chrétienne


Citant « Michel Olivier, ancien officier des forces spéciales et auteur du livre “La Guerre secrète” »,
GUILLAUME GATTERMANN (Avenir de la Culture) a écrit:

« L’entreprise reste le terrain de jeu préféré de l’islam radical »

[…]

Bien sûr, les salariés de confession musulmane, même « conservateurs », ne sont pas tous de futurs terroristes,
Citation :
mais ils contribuent à l’islamisation de leur usine par d’autres moyens. C’est ce que nous appelons la guerre secrète, celle que les islamistes nous livrent d’une manière apparemment non violente, mais qui rejoint les objectifs de ceux qui pratiquent la lutte armée

[…] Nous appelons cela “Neurotmésis : couper les nerfs et isoler la tête du corps”. Le nerf de la guerre c’est l’économie… Nous devons donc être novateurs et créatifs et trouver de nouvelles façons de cibler l'économie et maîtriser le choix des cibles les plus percutante

[…] l’analyse des attentats commis sur notre sol a révélé l’existence d’un continuum entre communautarisme et terrorisme. Les dégâts économiques des attentats sont le symptôme d’un mal plus profond : celui de la fragmentation communautaire de la société. Nous avons rencontré des dizaines de responsables d’entreprises et de hauts fonctionnaires. Tous sont unanimes : nous ne sommes pas en mesure d’enrayer ce phénomène.

[des] salariés de confession musulmane demandent de la nourriture halal à la cantine, des aménagements du travail pendant le ramadan. Puis, un jour, une salariée arrive voilée (…) sans susciter aucune réaction de la direction, prise au piège du droit du travail. Le noyau militant peut alors s’étendre, souvent en faisant pression sur les autres salariés musulmans, accusés d’apostasie, pour finalement imposer leur loi, inspirée de la charia.

[…] personne ne veut avouer qu’il y a dans l’entreprise un problème de radicalisation. Les directions générales ne veulent pas d’histoire, les DRH préfèrent négocier des accords sur la diversité (…). Dans ces conditions, il est tentant d’acheter la paix avec les barbus et le sujet demeure tabou, même si personne n’est dupe. Il faut le drame d’un attentat pour qu’on découvre le passé professionnel du terroriste

Les différents attentats ont montré que la surveillance n’empêche pas le passage à l’acte, qu’on soit fiché ou non. En bout de chaîne, les chefs d’entreprises sont les plus mal lotis : ils ont interdiction de ficher leurs salariés sous peine de prison, ne disposent pas d’outils de détection et n’ont aucun échange d’information avec les services spécialisés. C’est pourquoi l’entreprise reste le terrain de jeu préféré de l’islam radical.

[…] Ne l’oublions pas, la victoire du djihad à l’usine, ce n’est pas nécessairement de parvenir à décapiter son patron, mais plutôt de réussir à voiler sa collègue.

Source : https://www.avenirdelaculture.info/lentreprise-reste-le-terrain-de-jeu-prefere-de-lislam-radical/
Source de la source : https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/le-djihad-lusine-ce-nest-pas-necessairement-decapiter-son-patron-mais-reussir-voiler-sa-collegue-108520

Ne nous leurrons pas : nos dirigeants politiques, dont aucun n’est réellement catholique mais qui sont tous guidés par les sectes secrètes (F... M... et autres communautés apatrides style “B'nai B'rith”) ennemies de la Sainte Église catholique, VEULENT cet état de choses pour finir de détruire, s’il était possible, notre civilisation catholique…
Ils ont chassé Dieu ; un autre arrive qui est le prince des enfers !
Mais le vrai Dieu sortira vainqueur de la grande guerre qui s’annonce.

_________________

Jean-Paul BONTEMPS
 
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
 
« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)

« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyDim 22 Sep - 18:20

Rapport de la DGSI sur « ÉTAT DES LIEUX LA PÉNÉTRATION DE L’ISLAM FONDAMENTALISTE EN FRANCE » : file:///C:/Users/Admin/Downloads/RAPPORT%20DGSI.pdf
Citation :

[…]

La menace que représente cet islam politique est protéiforme et multifactorielle : prolifération terroriste, rupture du contrat social français, rejet profond des valeurs républicaines [1], aggravation des tensions intercommunautaires, confessionnalisation de la citoyenneté, repli communautaire...
[1]
Voir les notes après la citation.

Le risque ultime que font peser les quatre mouvements islamistes les plus actifs – Frères Musulmans, salafistes, tabligh, turcs – est l’avènement d’une contre-société sur le territoire national.

Ce risque se matérialise et s’intensifie alors que près de 53% de français de confession musulmane pratiquent un islam “conservateur” voire “autoritaire” qui confine à une forme de sécessionnisme politique et social pour 28% d’entre eux. Le “marché du croire” devient un oligopole partagé entre les factions islamistes dont l’influence est la plus néfaste, et ce marché se développe selon les codes du monde libéral contemporain, qu’il entend cependant contester.

La puissance des réseaux islamistes et leur prolifération sont la résultante d’une incapacité chronique à analyser leurs stratégies et leurs moyens d’action de manière globale dans des champs aussi névralgiques que l’éducation, le monde de l’entreprise, le contrôle des lieux de culte, internet et les réseaux sociaux, les œuvres caritatives.

Ceux-ci ne doivent pas être interprétés comme des actions contingentes mais prises dans la cohérence des stratégies de chaque réseau, qui répondent à des fondements idéologiques et théologiques bien souvent oblitérés.

[…]

L’un des points centraux de la pénétration des Frères Musulmans dans la communauté musulmane mais aussi dans la société française en général est centré sur une tactique redoutable de guerre terminologique. En effet, les Frères Musulmans emploient de manière coordonnée, grâce à de nombreux relais, et sur le long terme, une stratégie particulièrement efficace de communication.

L’objectif final recherché est double : premièrement, une stratégie de victimisation systématique de la communauté musulmane fondamentaliste, et, deuxièmement, un positionnement de défenseur de ladite discrimination. L’utilisation du retournement rhétorique des thématiques républicaines et l’appropriation des thématiques antiracistes est caractéristique.

Ainsi, au-delà de la communauté ciblée, marché adressable des Frères Musulmans, l’ensemble de la population se trouve potentiellement influençable par leur idéologie. Les relais sont multiples : organisations musulmanes françaises et étrangères, liées ou non à l’organisation, associations gravitant autour de leur sphère, associations de type « idiots utiles », médias, réseaux sociaux et dialogue interpersonnel. Souvent même, certaines personnalités et sensibilités politiques.

La première réussite de cette guérilla informationnelle et idéologique est de parvenir à confondre dans l’opinion cible et l’opinion générale les discriminations antimusulmans (rejet massif et haineux de l’islam en tant que religion, sanctionné par les lois de la République), et le rejet du fondamentalisme musulman (lui légitime, puisque contraire aux valeurs de la République, notamment en matière de laïcité et de droits humains).

Le terme « islamophobie » est un élément phare de cette stratégie. Création des cercles de "frères" en France, son succès repose sur plusieurs éléments. Lexicalement, il renvoie à une peur haineuse de l’islam dans son ensemble, renvoyant aux termes « xénophobie » ou encore « homophobie ». Il relève ainsi de l’imposture intellectuelle, dans la mesure où ce que ce terme définit réellement est un rejet légitime d’une certaine forme de l’islam, radical et en inadéquation avec le système politique, social et sociétal français. Toute forme de critique et de débat sur les formes et pratiques les plus fondamentalistes de l’islam, telles que prônées par les Frères Musulmans, se voit dès lors étiquetée « islamophobe ».

La neutralité sur le champ des courants de l’islam (dans la mesure où toute remise en question et manœuvre défensive de la République face au fondamentalisme religieux est traduite comme un racisme antimusulman) rend ce terme aisément diffusable dans l’ensemble de la société et bloque la légitimité d’une réflexion voire d’une action régulatrice. On parvient par l’emploi massif et habilement relayé du terme « islamophobie » à décrédibiliser et rendre intolérable toute critique ou remise en question de l’islam.
 [1] et [2]

Les premiers relais sont les associations liées aux réseaux des Frères Musulmans. En premier lieu desquelles on trouve le Comité Contre l’Islamophobie en France – CCIF –, ou encore le Parti des Indigènes de la République. Notons d’ailleurs que le travail onomastique pour définir l'appellation de ces associations est particulièrement fin, le premier renvoyant aux noms de véritables structures de lutte contre le racisme ou les discriminations, le second y ajoutant la légitimité de la lutte anticolonialiste [3]. Derrière le dessein annoncé, somme toute légitime [3], de lutter contre le racisme antimusulman, se cache en toile de fond le corpus idéologique fondamentaliste des frères musulmans.

[…]

L’on joue ici sur les valeurs républicaines de tolérance et de non-discrimination, perçues comme un cadre de pensée légitimement inviolable par la majeure partie de la population. Cela fonctionne de manière efficace, malgré le fait que la pensée fondamentaliste s’inscrive aux antipodes des valeurs qu’elle utilise pour prospérer. [4]

Au sein de la communauté musulmane, généralement moins bien intégrées sur le plan social, économique et culturel que le reste de la population française, ce discours est particulièrement efficace. [4] […]

[…] toute critique contre l’islam fondamentaliste est confondue avec ce qui relève d’un véritable racisme et qui est sanctionné par les lois républicaines. [4]

[…]

Dès lors, l’Etat et les valeurs républicaines se voient perdants de cette guerre de conquête par les mots. [4] […]

Le point le plus insidieux de cette stratégie s’avère être la réappropriation et le retournement des valeurs républicaines et des luttes pour les droits humains au service de la défense du fondamentalisme. [4]

[…]

Le combat idéologique passe en grande partie par cette guerre des mots. Et, avant tout, il s’agit de comprendre que la République se situe dans un cadre de guérilla rhétorique.
 [1] et [5] […]

Notes de JP B :
  1. Souligné d’un trait et en gras par votre serviteur, en rapport avec la note 2.

  2. Comme l’évoque le titre du présent fil et celui du post en tête, tout cela est le résultat de l’apostasie de notre société anciennement chrétienne et est le châtiment que Dieu réserve à la raie publique laïque (c’est-à-dire sans Dieu) la 3 ième guerre mondiale qui vient étant celui qu’Il réserve à toute cette société pourrie.

  3. Souligné d’un trait et en gras par votre serviteur. Nous voyons là ces messieurs se tirer une balle dans le pied : « la légitimité de la lutte anticolonialiste » suppose nécessairement que le colonialisme, pratiqué jadis par la France, est obligatoirement mauvais (ce pourquoi il serait légitime de lutter contre) alors qu’il a apporté tant de biens civilisateurs aux peuples indigènes.
    Les défenseurs de la raie publique auront beau faire pour la secourir ; avec de tels principes, ils ont perdu d’avance, et c’est justice !

  4. C’est là la confirmation de la note précédente…

  5. La raie publique, dès sa naissance, s’est toujours située « dans un cadre de guérilla rhétorique » essentiellement, à l’origine et encore maintenant, contre le catholicisme.

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Jean-Paul BONTEMPS
 
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« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)

« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyMar 24 Sep - 18:38

En pages 46-47 du Rapport de la DGSI sur « ÉTAT DES LIEUX LA PÉNÉTRATION DE L’ISLAM FONDAMENTALISTE EN FRANCE » déjà cité ci-dessus, sous le titre “Conclusion”, le rédacteur dudit Rapport a écrit:

[…] D’après l’Institut Randstad et l’Observatoire du fait religieux en entreprise, dans leur rapport de 2016, « les salariés [1] savent désormais que l’entreprise privée n’est pas un lieu où la neutralité s’applique et entendent exprimer leurs convictions religieuses [2] ».

La subjectivité de ce concept est assez variable mais la connaissance des règles de droit en vigueur permettra de stopper des revendications communautaires excessives. Le cas de la RATP est symptomatique de ces malentendus et "L'obsession de la garantie de la liberté ne doit pas entraîner la faiblesse dans la lutte contre les intégrismes".

Les islamistes français peuvent s’appuyer sur des organisations comme l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), la Ligue Islamique mondiale, l'Organisation Islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISECSCO) et les frères musulmans qui aspirent à imposer la pratique de l’Islam dans le monde du travail. Il s’agit notamment de prier pendant les heures de travail sans retenues de salaire – deux ou trois prières journalières pendant les heures travaillées –, demande de jours fériés musulmans officiels : le Fitr marquant la fin du jeûne du Ramadan et l’Ahda, jour du sacrifice au cours du pèlerinage à La Mecque. Une demi-journée pourrait être également chômée le vendredi.

Afin de ne pas faire preuve de naïveté dans ce domaine nous pouvons regarder ce qui s’est passé aux Etats-Unis : au début des années 1980, est né le Council on American-Islamic Relations CAIR. Proche des Frères Musulmans et soutenue financièrement par le Qatar, cette association est présente dans tous les états et possède de gros moyens financiers. Elle a mis en place une application smartphone qui permet de lancer une procédure contre un employeur qui aurait commis un acte islamophobe. Le salarié l’utilise pour signaler et expliquer les faits. CAIR dépose une plainte auprès de l’Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) ; si la faute est avérée, l’employeur devra suivre la recommandation. En cas de refus, CAIR relance les procédures en 1er et 2ème instance jusqu’à terminer devant la Cour suprême. Le plaignant ne règle aucun frais de justice [3]. Les plaignants peuvent percevoir des dommages et intérêts allant de 1 à 2 millions de dollars [3].

Cet exemple permet de prendre conscience que l’islamisation des sociétés occidentales via le communautarisme est un vrai projet de société.

Notes de JPB :
  1. Il s’agit là des salariés musulmans.

  2. Les salariés catholiques (ou même chrétiens en général) peuvent-ils, dans « l’entreprise privée » comme dans l’entreprise publique, « exprimer leurs convictions religieuses » ?…

  3. Les catholiques (ou même chrétiens en général) bénéficient-ils de tels avantages ?…

En page 48, sous le titre « 2.3 Sport », le rédacteur a écrit:

La radicalisation religieuse par le sport, premier facteur de radicalisation

En France, les clubs de sport, lieux supposés d'intégration, de mixité sociale et de laïcité, ne sont pas épargnés par l’influence islamiste. Cette dérive, jusqu’ici circonscrite à quelques clubs ou associations sportives, est en constante évolution depuis quelques années, comme en témoigne une note du service de renseignement territorial (SCRT) datée de juillet 2015, intitulée : « Le sport amateur, vecteur de communautarisme et de radicalité ». Ce document faisait mention d’une trentaine d’associations sportives identifiées comme pratiquant le prosélytisme religieux, en France, de Roubaix à Perpignan en passant par les quartiers prioritaires de grandes villes à l’instar de Lyon, de Marseille et de Paris. La note est agrémentée d’exemples de matchs de football interrompus par des prières, de matchs féminins où les joueuses sont voilées, en dépit des règlements, de la loi et des fédérations.

[… – p. 49 et ss.]


Une question se pose déjà, à la lecture de ce début du Rapport de la DGSI qui date de 2018 : À quoi ce Rapport a-t-il servi et quelles en sont les suites ?

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« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyJeu 26 Sep - 17:35

En page 78, sous le titre « Troisième partie LES MOUVEMENTS » (de la p. 76) et le sous-titre « 1.1 Mouvement Salafiste », le rédacteur du Rapport de la DGSI a écrit:

Ressources humaines (nombre de membres, sociologie, socialisation)

Selon le ministère de l'Intérieur, les adeptes du salafisme sont entre 12.000 et 15.000 sur le territoire national, contre quelques dizaines de fidèles au début des années 1990. Les adeptes sont essentiellement issus de l'immigration musulmane, mais près d'un tiers d'entre eux sont des catholiques ou protestants convertis.

On distingue deux groupes sociaux dans le courant salafiste. Le premier groupe, qui constitue la majorité des salafis, est composé de personnes issues des classes populaires. Le second est composé de personnes issues des classes moyennes voire supérieures. Une minorité d’entre eux ont poursuivi des études supérieures. Les autres appartiennent à la petite bourgeoisie commerçante (artisans, commerçants). De plus en plus de jeunes appartenant au salafisme possèdent des snacks halal, des taxiphones, des librairies islamiques ou encore des magasins de vêtements.

Certains font de l’import-export entre la France et le Moyen-Orient, d’autres deviennent artisans-taxis ou encore vendent des produits sur les marchés. […]

En page 80, le rédacteur a écrit:

Les profils salafistes

D’après les différentes études menées sur le sujet du salafisme, il ressort que les profils salafistes sont très divers et hétérogènes. D’un point de vue global, on estime entre 60% et 70% la part des salafis issus de familles d’origine maghrébine et machrékine ayant immigré en occident ; les enfants issus de l’immigration algérienne semblant être surreprésentés ; tandis que 20% est issu des pays musulmans de l’Afrique sub-saharienne.

On compte dans les rangs salafistes une large majorité de jeunes hommes de 15 à 25 ans avec une part de plus en plus importante de très jeunes, âgés de 13 à 14 ans. On estime que l’âge moyen des salafistes se situe autour de 26 ans et qu’un tiers des effectifs est composé de femmes.

On trouve par ailleurs une très forte proportion de salafis convertis à l’islam, issus de familles de tradition catholique et protestante (on peut noter quelques cas de juifs ou de bouddhistes mais ceux-ci restent marginaux). La part des convertis représente entre un quart et un tiers des effectifs totaux selon les estimations ; ce qui fait du salafisme un mouvement conversionniste au sens littéral du terme.

Les salafistes proviennent de tous les territoires, même si les grandes agglomérations sont plus touchées par le phénomène. Ils sont issus de catégories sociales et socioéconomiques diverses, allant des classes populaires au classes supérieures en passant par les classes moyennes.

Si les classes défavorisées semblent être une cible plus facile, le fait que les imams et les leaders de la première génération, qui ont généralement entre 35 et 55 ans, soient des personnes bien éduquées, ayant souvent effectué un cursus dans des universités islamiques du monde arabe (université islamique de l’Émir Abdelkader à Constantine, al-Azhar en Égypte, Qarawine à Fès, Zeytouna à Tunis) peut également séduire des individus d’un niveau social élevé.

Depuis quelques années, en plus de cette première génération de leaders salafis, on trouve une deuxième génération : des hommes entre vingt et trente-cinq ans, nés et scolarisés en Occident, ayant réalisé des études supérieures en sciences islamiques dans les universités de la péninsule arabique (université de Médine, la Mecque, Dar al-Hadith…).

En page 91, il a écrit:

Un certain nombre de déclarations [sur des chaînes télévisées musulmanes accessibles dans le monde entier dont, en l’occurrence, la France...] * (liste non exhaustive [http://www.contre-info.com/une-chaine-salafiste-promouvant-le-jihad-et-la-charia-desormais-disponible-en-francais-sur-freebox-tv] * ) :
  • Le cheikh Aidh Al-Qarni (accueilli à la mosquée de Puteaux) : « Les gorges doivent être tranchées et les crânes fracassés ; c’est le chemin vers la victoire »

  • Le cheikh Mohammad Al-Arifi : « L’Islam n’impose pas d’âge minimum pour le mariage »

  • […]

  • L’expert législateur saoudien Basem Alem : « Nous avons le droit d’appeler au Jihad offensif pour imposer notre mode de vie »

  • Abdallah Basfar, le secrétaire-général de la Commission de mémorisation du Coran de la MWL, a ouvertement incité tous les musulmans à contribuer financièrement aux activités terroristes du Hamas en donnant à son organisation : « Le Prophète a dit : “Celui qui équipe un combattant — c’est comme s’il avait combattu lui-même.” Vous êtes étendu dans votre lit, en sécurité dans votre maison, vous donnez de l’argent et Allah vous crédite des récompenses d’un combattant. Qu’est-ce que c’est ? Un privilège »

  • […]


* Les parties de texte entre crochets sont de JP B.

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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyVen 27 Sep - 18:17

En page 93, le rédacteur du Rapport de la DGSI a écrit:

Stratégie

Quelle est la stratégie des salafistes en France ?

Les objectifs des salafistes en France doivent être étudiés à l’aune des objectifs globaux des salafistes qui sont par ordre chronologique : premièrement, la réislamisation des pays musulmans que les salafistes considèrent « contaminés » par des idées laïques ainsi qu’un changement du régime. Deuxièmement, la réunification de l’Oumma [1] dans le cadre d’un Califat qui inclurait les pays autrefois rattachés aux empires musulmans (Al-Andalous, Sicile, Balkans, Inde, Israël, etc.). Troisièmement, la soumission de l’ensemble des sociétés « mécréantes » (dar al-harb [2]) de la planète qui n’ont jamais fait partie du dar al-islam [3] (monde musulman).

Si l’impératif de réintroduction de la charia [4] en terre islamique « contaminée » prime sur les étapes d’unification du monde musulman et d’islamisation des peuples non musulmans, les pays occidentaux, tout particulièrement les pays européens, représentent un cas spécial en raison de leur ouverture et de leur perméabilité à la propagande islamiste [*]. Cet état de fait signifie que les deuxième et troisième objectifs peuvent y être poursuivis avant même la pleine réalisation du premier dans les pays musulmans « d’origine ».

Afin de réaliser le premier objectif (réislamisation des musulmans), les responsables islamistes cherchent dans un premier temps à encadrer voire contrôler les communautés musulmanes européennes issues de l’immigration, dont ils souhaitent empêcher à tout prix l’adhésion aux valeurs et aux mœurs occidentales, considérées « impies ».

Mobiliser la communauté pour obtenir des aménagements religieux

Les salafistes cherchent à obtenir, petit à petit, le maximum de concessions de la part de l’Etat français quant à la pratique de leur religion dans l’espace public. Un « programme commun minimum » de revendications communautaires et confessionnelles a été mis en place.

Droit de porter le voile islamique au travail et dans les lieux publics et administrations, demande de jours fériés musulmans officiels pour les fêtes islamiques, introduction de l’enseignement religieux islamique dans l’Éducation nationale, reconnaissance des règles islamiques en matière de statut personnel (mariage musulman, répudiation, polygamie, héritage, garde des enfants, cimetières/carrés musulmans séparés), exclusion d’ouvrages « offensants envers l’islam », […]

Notes de JP B :
  1. La communauté musulmane.

  2. Le « domaine de la guerre » dans le monde des “infidèles”, lequel est appelé « Dar al-Kufr » (Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Division_du_monde_dans_l%27islam).


  3. Le « domaine de la soumission à Dieu », Allah en arabe (même source).

  4. La législation islamique, « diverses normes et règles doctrinales, sociales, cultuelles et relationnelles » (Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Charia).

En page 94, il a écrit:

Utiliser leurs propres valeurs contre les occidentaux

Celle-ci vise à empêcher toute critique potentielle de la part de tiers en se posant en victime et en les culpabilisant, puis à retourner contre les sociétés occidentales leurs propres valeurs pluralistes. C’est ainsi que les relais associatifs de l’islamisme sont parvenus à faire passer leurs revendications communautaristes pour des doléances progressistes, multiculturalistes, voire « antiracistes et antifascistes ».

Ceux-ci utilisent une tactique qui vise à mélanger les questions du culte musulman, du racisme, de l’exclusion, de la pauvreté et de l’immigration, pourtant de nature fort différente, pour masquer leur objectif et faire baisser la garde des adversaires qui pourraient les empêcher de prendre le contrôle des instances de représentations de l’islam.

Occuper le terrain : « la conquête des cœurs et des esprits »

Les salafistes ont mis en place au fil des années une organisation territoriale bien structurée et financée. Les salafistes peuvent aujourd’hui compter sur de nombreux militants motivés et prêts à occuper le terrain en cas de nécessité.

Pour parvenir à un contrôle plus aisé des territoires qu’ils ciblent (quartiers « sensibles » en priorité où l’Etat est peu présent) et s’assurer un soutien de la part de la population locale, les salafistes ont mis en place des structures qui permettent de créer du lien social (mais toujours avec une étiquette islamiste). Associations de soutien aux indigents, visite des malades, aide aux familles des détenus, accompagnement scolaire… Les salafistes recréent un tissu social dans des zones où il est inexistant tout en encadrant la jeunesse ce qui contribue à la baisse de la délinquance.

La « conquête des cœurs et des esprits », concept souvent retrouvé dans la sphère militaire, est également applicable par les salafistes français. Ceci leur permet, petit à petit de bénéficier d’un capital de sympathie de la part des populations locales.

La France fait donc face à une organisation qui a clairement défini ses objectifs et qui se donne les moyens de les atteindre. Disposant d’un maillage territorial performant, d’une capacité de séduction redoutable et de moyens humains et financiers conséquents, les salafistes français représentent une menace grandissante pour l’Etat français. *

* On ne s’en serait pas douté !… Mais quelle est donc la cause de tout cela et du fait que nos dirigeants actuels, depuis longtemps traîtres à notre civilisation, ont laissé entrer ces gens dans nos pays occidentaux en général et plus particulièrement européens quand ils ne les ont pas incités par diverses mesures à venir y semer leur subversion, quelle est donc la cause, demandé-je, de tout cela et du fait incriminant nos dits dirigeants actuels ? (Note de JP B.)

Et ce phénomène ne cesse d’empirer. C’est pourquoi, sous le titre « Evolution » en page 95, le rédacteur a écrit:

Le salafisme est le courant islamiste qui connaît la progression la plus inquiétante en France. Alors qu’au début des années 1990, le mouvement comptait seulement quelques dizaines d'individus, il en comptait déjà 5.000 en 2005 selon la DCRG. Il y aurait près de 50.000 salafistes, de toutes obédiences, en France en 2018.

[…]


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Jean-Paul BONTEMPS
 
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
 
« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)

« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptySam 28 Sep - 15:40

Sous le titre « 1.2 Mouvement des Frères Musulmans » de la page 96, en page 99, le rédacteur du Rapport de la DGSI a écrit:

Doctrine

[…] Il s’agit incontestablement de l’organisation islamiste qui possède le plus d’influence dans le monde arabe.

La doctrine des Frères musulmans repose sur une conception fondamentaliste des textes coraniques. Les Frères défendent un retour à l’islam originel. Aussi, la Confrérie a largement contribué à théoriser le djihad moderne, notamment par le biais de Sayyid Qutb, véritable précurseur de l’islamisme révolutionnaire.

Le fond doctrinal des Frères musulmans repose sur le projet de création d’un Etat musulman théocratique – Califat – ainsi qu’une haine profonde de la civilisation occidentale et de son histoire coloniale.

Son implantation dans le monde est très large, du Proche-Orient, en Afrique et en Europe.La nature idéologique des Frères Musulmans s’incarne parfaitement dans leur devise : « Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance ».

Le développement de la foi islamique dans la littérature d’Hassan el-Banna se subdivise en plusieurs étapes, en partant de l’endoctrinement de l’individu dès son plus jeune âge, en passant par le cadre de la famille, de la population dans son ensemble.

[pages suivantes (100-101) : …]

Les Frères musulmans sont certainement l’organisation islamiste la plus dangereuse pour la démocratie française à moyen et long-terme. Aucun réseau islamiste ne dispose de telles ressources matérielles et intellectuelles. Les réseaux d’influence fréristes sont par ailleurs sans concurrence.

Méthode réthorique traditionelle des FM
[où l’on voit toute la duplicité des musulmans… Les communistes n’ont rien inventé ! Remarque de JPB.]

La Taqiya est une technique sophistiquée du double discours et de la dissimulation des vraies convictions, des vraies opinions et des vraies intentions. Elle est loin d’être la seule technique de communication utilisée par les islamistes. D’autres techniques aussi efficaces peuvent être citées :
  • la Moudarah, forme de politesse simulée qui vise à imposer ses convictions progressivement, par à-coups, et sans les renier ostensiblement

  • la Moudahana correspond à l’action de renier ses convictions, en apparence, pour faire bonne figure et gagner la confiance d’un environnement hostile

  • le Ta’rid correspond au fait d’énoncer une « vérité » en l’habillant d’une dimension équivoque afin que l’interlocuteur comprenne tout le contraire de ce que l’on exprime.

La doctrine appliquée par les Musulmans de France se concrétise à travers la réalisation de l’objet social de sa structure principale, déclinée en treize thématiques :
  • 1 ; faciliter aux musulmans la pratique de leur religion :
    • a ; en leur prêtant assistance dans l'acquisition et l'édification de mosquées, la création d'établissements scolaires privés et la mise en place de lieux d'activités sociales, éducatives et culturelles ;
    • b ; en mettant à la disposition des associations musulmanes par bail, prêt, commodat ou autres les locaux nécessaires à leur propre objet avec faculté le cas échéant, de sous location pour ces mêmes activités ou activités hors statuts dans la mesure où celles-ci restent accessoires à l'activité statutaire ;

  • 2 ; présenter et faire connaître l'islam, et ses valeurs d'ouverture et de tolérance, son éthique et sa morale ; en se basant sur une compréhension du juste milieu, et de modération, et une pratique authentique ;

  • 3 ; œuvrer pour la consolidation des valeurs d'élévation spirituelle et morale de chaque musulman, et de l'esprit d'amour et de fraternité entre les hommes ;

  • 4 ; défendre et représenter les intérêts de l'islam et des musulmans de france ;

  • 5 ; contribuer à promouvoir les valeurs éthiques et morales, dans le respect des libertés ;

  • 6 ; dispenser et promouvoir la formation religieuse, théologique et spirituelle musulmanes ;

  • 7 ; œuvrer pour la participation citoyenne des musulmans de france ;

  • 8 ; soutenir les jeunes musulmans de france à faire face aux défis de la vie moderne et à être indépendants, responsables et utiles ;

  • 9 ; établir, approfondir et organiser les liens entre les associations musulmanes de france et les aider à développer leurs compétences et à coopérer entre elles ;

  • 10 ; etablir des liens d'amitié et de coopération avec les institutions et organisations similaires françaises, européennes et étrangères ;

  • 11 ; promouvoir le dialogue et la coopération avec les différentes familles religieuses de france, et les institutions de la société civile, en vue de renforcer la fraternité et la cohésion sociale ;

  • 12 ; encourager et soutenir toute initiative d'intérêt général, et en particulier, celle qui contribue à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion ;

  • 13 ; défendre les droits de l'homme, les libertés religieuses et la liberté de conscience ; combattre le racisme, l'islamophobie et l'incitation à la haine raciale

En page 103, le rédacteur a écrit:

En 2001, la police fouilla la maison de Lugano de Youssef Nada et y trouva un document de quatorze pages préparé en décembre 1982 et intitulé « Le projet », dans lequel était décrite dans les moindres détails la stratégie des Frères musulmans en Europe, répartie en douze points, et destinée à islamiser l’Occident par divers moyens comme la propagande, l’infiltration, l’entrisme, la promotion du « djihad guerrier » (à l’extérieur) et du « djihad verbal ».

En 2005, le rédacteur en chef du journal Le Temps, Sylvain Besson, publia un livre intitulé La conquête de l’Occident qui décrivait en détails la teneur de ce « Projet » . Le document exhorte les musulmans d’Europe à participer activement à la vie politique des pays d’accueil, afin d’influencer la société civile - pour qu’elle devienne davantage islamique - en passant par les organes exécutifs, parlementaires et syndicaux. Dans le même temps, tout faire pour ne pas se désislamiser et à ne pas s’intégrer aux valeurs et règles considérées « impies ».

Stratégie

“Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays Musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’Islam.
Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’Identité Française”

Marwan Muhammad, prêche à la mosquée d’Orly, 2011.

Les Frères Musulmans poursuivent en France une stratégie à long terme qu’ils évitent de compromettre par des erreurs de communication publique. Ils revendiquent un respect intégral des valeurs et des lois de la République en les instrumentalisant habilement. Les Frères musulmans invitent leurs sympathisants à s’intéresser et participer à la vie démocratique, par les élections. De véritables consignes de vote sont données, notamment par des prédicateurs influents comme Hassan Iquioussen. Le vote des français musulmans doit être défini par l’unique intérêt de la communauté musulmane, dans l’exercice d’une forme de vote confessionnel.

Les Frères Musulmans se veulent une machine à fabriquer des citoyens confessionnels, mus par le seul avenir de leur communauté religieuse.

Pour réaliser ces desseins, les Frères Musulmans n’ont recours qu’à des moyens légaux et démocratiques, qui sont en définitive beaucoup plus efficace dans le cadre de leur projet.

Aussi faut-il aux Frères musulmans créer une vision du monde qui soit proprement islamique. Pour cela, ils produisent et diffusent des connaissances par différents canaux pour créer une pensée concurrente au mode de pensée occidental, qui est de type rationnel et empirique.

On voit ce que nos dirigeants politique laisse entrer quand ils n’incitent pas à entrer !…

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« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyDim 29 Sep - 14:32

Sous le sous-titre « L’islamisation des connaissances, la fabrication d’un nouvel homme musulman » de la page 102, en page 103, à la suite de ce qui précède, le rédacteur du Rapport de la DGSI a écrit:

Cette « islamisation de la connaissance » est symptomatique de la volonté des Frères Musulmans de faire de l’islam un fait totalitaire et globalisant. Dans la tradition philosophique européenne, la Foi est convoquée par la Raison [1] pour se justifier, le projet fondamentaliste des Frères Musulmans y substitue l’opération contraire.

[…]

Le réseau des Frères Musulmans est bâti autour de l’imperméabilité de la communauté. Les attaques, qu’elles soient internes ou externes à la oumma [2], ne sont pas gérées de la même manière. Si les attaques sont internes à la communauté, la personne incriminée sera exclue et décrédibilisée auprès de la oumma. Elle deviendra une cible d’attaques et parfois même de menaces. Lorsque l’attaque vient de l’extérieur, la stratégie est triple : décrédibilisation, victimisation et appartenance.

Le cas de Tariq Ramadan en est l’exemple concret, la première approche consiste en une remise en cause des éléments reprochés à l’accusé ainsi qu’à la légitimité de l’accusatrice.

La seconde phase s’amorce avec une stratégie de victimisation, méthode la plus utilisée par le réseau des Frères Musulmans pour expliquer les raisons des attaques subies par cette communauté. Ayant déjà avancé le manque de crédibilité des attaques ou des attaquants, il convient ensuite d’expliquer les réelles raisons de telles attaques. Le terme islamophobie fait alors son entrée dans le lexique des communicants.

La dernière phase correspond à la clôture de l’incident, elle a pour but de resserrer les rangs et de s’assurer du soutien de la communauté envers un frère injustement attaqué. Elle fait résonner appartenance à la oumma et exemplarité religieuse. Elle met en parallèle la soumission à Dieu et celle à la communauté. Elle érige donc la communauté au même niveau que la religion et devient ainsi indispensable à la bonne exécution de la foi [3] musulmane.

Notes de JP B :
  1. Remarquons que même un organisme officiel de notre république apostate comme la Direction Générale de la Sécurité Intérieure reconnaît que la Foi (avec une majuscule, s’il vous plaît !…) est en rapport intime avec la raison !

  2. La communauté musulmane.

  3. Remarquons bien qu’il n’y a pas, qu’il n’existe pas, une « “foi musulmane » mais seulement une croyance (toute humaine) musulmane : la Foi est une vertu théologale qui est donnée par le vrai Dieu à celui qui adhère intellectuellement aux vérités qu’Il a révélées (même s’il ne les comprend pas) et qu’Il nous enseigne par Son Église. La foi n’a donc rien à voir avec une croyance qui, non seulement fait fi du caractère possiblement rationnel de ses dogmes, lesquels, dès lors, ne se fondent plus que sur le sentiment subjectif (comme chez les protestants qui, s’étant coupés de la continuité des sources de la Tradition pour ne plus se baser que sur leur interprétation personnelle des Écritures, ne savent présenter aucune preuve de véracité et motif de crédibilité objectifs, et comme chez les modernistes avec leur « immanence vitale » [cf. l’Encyclique de St Pie X « Pascendi Dominici gregis » : http://www.catho.org/9.php?d=cpw#e]) voire sur l’endoctrinement aveugle, mais qui, en plus, vient d’un faux dieu inventé par l’homme (en l’occurrence Mahomet qui fut on peut rarement plus pervers), faux dieu qui ne tient aucun compte de la véritable Révélation (notamment du mystère de la Très Sainte Trinité) et ne provient que d’une inspiration démoniaque…

En page 106, sous le sous-titre « Evolution », le rédacteur a écrit:

Si la première édition de la Rencontre annuelle des musulmans de France, en 1983, avait réuni environ 300 personnes, celle qui s’est tenue en 2006 en a réuni environ 100 000 personnes et celle de 2016 environ 200 000 personnes.


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« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyLun 30 Sep - 15:18

Passons sur le Mouvement Tabligh (titre 1.3, p. 106 à 111) qui ne présente pas grand chose de plus particulier que les autres mouvements islamiques.
Signalons toutefois ceci en page 109 : « La première mosquée Tabligh s’installe boulevard Belleville à Paris (Mosquée Abu Bakr) et les suivantes voient le jour à Mantes-la-Jolie, Creil, Goussainville, Le Mans, Rouen, Lyon, Toulouse, Marseille, Roubaix. » Et en page 111 : « […] De nombreux incidents ont eu lieu à l'occasion de reportages effectués sur les Tabligh. En 2010, des journalistes avaient été violemment agressés par des membres du mouvement en Seine-et-Marne. »

En pages 112-113, Le rédacteur a écrit:

1.4. Mouvement Turc


"Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques,
les mosquées nos casernes, les croyants nos soldats."

“Personne ne peut vous demander d'être assimilés. Pour moi,
le fait de demander l'assimilation est un crime contre l'humanité,
personne ne peut vous dire: renonce à tes valeurs"

Recep Tayyip Erdogan


Résultat… Erdoga10



Ressources humaines

D’après les consulats turcs en France, 600.000 individus turcs ou binationaux sont présents sur le territoire national (611.515 en 2013). 200.000 Turcs seraient également en situation irrégulière, ce qui porterait leur nombre à plus de 800.000, soit d’après l’INSEE, la quatrième communauté étrangère en France. Ils sont répartis sur l’ensemble du territoire français, et en particulier dans quatre grandes villes, dont Paris avec plus de 250.000 ressortissants, Strasbourg avec près de 150.000, Lyon avec plus de 100.000, et Marseille avec plus de 60.000.

Cette forte présence1 résulte d’une immigration grandissante à partir des années 1980, immigration tardive si on la compare à l’immigration maghrébine et africaine, tirée par le regroupement familial. Elle est aussi la conséquence de nombreuses naissances sur le territoire français. Le taux de fécondité d’une femme turque en France se trouve aux alentours de 3 enfants par femme, contre près de 2 pour une femme de la population française.
1
Ministère de l’Intérieur, Direction générale des étrangers en France, Département des statistiques, des études et de la documentation, « La fécondité des descendantes d’immigrés est proche de celle de la population majoritaire », numéro 79, 2015. [Note d’origine. Précision de JP B.]

Tout comme l’immigration maghrébine, l’immigration turque [https://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/commission/missions/islam_en_france/14-Brochure_Mission_Islam.pdf - précision de JPB] en France est composée d’une très large majorité de musulmans. Ceux-ci viennent principalement de deux courants de l’Islam, le sunnisme, religion majoritaire en Turquie, et l’Alévisme. La pratique de l’Islam dans la communauté turque est très répandue. Sur les 2500 mosquées recensées en France, 250 sont directement liées à « l’Islam turc », tandis que 200 autres seraient sans lien direct avec l’État turc. De même, d’après un rapport du Sénat, « sur les 301 imams, salariés par leurs États d’origine, détachés en France, on trouve 151 turcs »

[…]

En comparant les Turcs aux populations maghrébines, il apparaît que les premiers connaissent une bien plus faible endogamie[*] familiale, tout en garantissant aux femmes un statut social bien plus élevé. Ces données étonnent car elles ne permettent pas de bien comprendre le communautarisme turc. Il convient pour cela de se référer à une véritable stratégie politique établie par le président Erdogan, que nous traiterons dans les sections « stratégie » et « information et influence ».

Le président s’appuie d’ailleurs sur des populations immigrées provenant de la Turquie rurale plutôt conservatrice, expliquant ainsi ses succès électoraux dans la diaspora turque en France, et même en Europe. Cette diaspora en France est d’ailleurs régulièrement médiatisée à l’approche des élections en Turquie, notamment suite aux déplacements du président Erdogan dans l’est de la France, pour tenir ses meetings politiques.

    * « L'endogamie est une pratique rencontrée chez tous les peuples de la terre et qui consiste à choisir prioritairement et majoritairement son futur époux/sa future épouse à l'intérieur de l'aire géographique dont on fait partie (endogamie géographique), de la classe sociale à laquelle on appartient (endogamie sociale), du métier que l'on exerce (endogamie professionnelle), de la religion que l'on pratique (endogamie religieuse). » (https://fr.wiktionary.org/wiki/endogamie) Note de JP B.

En pages 115-118, Le rédacteur a écrit:

Organisation

[…]

À partir des années 1980, l’État turc commence à s’intéresser à ses populations émigrées, cherchant à recréer du lien avec elles. Ce sera le rôle du Ministère des Affaires religieuses, le Diyanet, organisme gouvernemental proche du Ministère des Affaires étrangères et du Ministère des Turcs en émigration, dont l’un des actes fondateurs sera de créer l’Union turco-islamique des Affaires religieuses (DITIB).

[…]

L’on estime que le DITIB gère plus de la moitié des mosquées et salles de prières turques en Europe, faisant de la Turquie un pays particulièrement impliqué dans la gestion de ses diasporas, bien plus centralisateur que des pays comme le Maroc ou l’Algérie.

Chaque Consulat turc a, en son sein, un représentant du DITIB, dont le rôle est de surveiller les lieux de cultes turcs et d’inspecter les imams, eux-mêmes contraints à respecter les demandes du pouvoir central, notamment concernant le prêche du Vendredi, contenu dans une lettre d’information, « le bulletin du Diyanet ».

Sur les 301 imams envoyés officiellement par des pays étrangers, et salariés par eux, 151 sont sous le contrôle du DITIB [https://www.nouvelobs.com/monde/20170407.OBS7705/comment-le-parti-d-erdogan-s-infiltre-en-france.html].

[…]

Autre mouvement particulièrement influent dans la communauté turc, la Confédération Islamique Millî Görüs (« vision nationale »), qui s’inscrit comme le concurrent principal du DITIB (Gilles Kepel, Les banlieues de l'islam. Naissance d'une religion en France, Paris, Le Seuil, 1991, p. 278).

[…]

Le Millî Görüs est membre statutaire du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM).

Il contrôle les diasporas turques, avec cependant une doctrine différente de celle du DITIB, proche des Frères musulmans, et nostalgiques de l’Empire ottoman, comme nous le verrons dans la prochaine section, « doctrine ». Le président Erdogan en est directement issu.

[…]

Depuis sa montée en puissance à partir de 1995, le Millî Görüs ne cesse d’être la source de conflits avec les locaux. Désormais implanté dans de nombreuses villes, dont la région parisienne, Lyon, Annecy, Orléans, etc, ce mouvement fait souvent l’objet de plaintes.

Plainte révélatrice, celle portée par le parti d’extrême-droite Alsace d’abord (ADA), concernant la construction d’une mosquée à Strasbourg, l’un des projets les plus importants d’Europe, qui a été débouté par l’État. Le mouvement a également été autorisé par la Mairie de Bordeaux, le 21 mai 2016, à tenir un stand en centre-ville à l’occasion du mouvement « permettez, je suis musulman ».

[…]

D’après Kamel Daoud, écrivain algérien, « Le but [d'un parti islamiste] est le monde, pas un mandat. Sa mécanique est déjà rodée dans nos pays au sud : il prend le pouvoir au nom de la démocratie, puis suspend la démocratie par usage du pouvoir. Au mieux. Au pis, il opte pour la démarche du crabe qui garde ses pinces derrière son dos : pas d'ambitions politiques affichées, mais une ambition millénaire dans la tête : convertir les habits, les corps, les liens, les arts, les crèches, les écoles, les chants, la culture, puis attendre que le fruit tombe dans le creux du turban... Un parti islamiste est un piège ouvert ... Si on le refuse, on bascule soi-même dans la dictature, mais si on l'accepte, on s’y soumet… ».

En pages 120, il a écrit:

Stratégie

Depuis la prise de pouvoir du président Erdogan, la Turquie a retrouvé des ambitions géopolitiques très élevés. Le président Erdogan a élargi ses prérogatives présidentielles, a remis en cause la laïcité dans le pays, au profit d’une réislamisation massive. L’instrumentalisation de l’islam dans la vision géopolitique d’Erdogan est manifeste, y compris en Europe. À cette fin, il détient un atout de poids, des millions d’émigrés turcs installés en Europe, notamment en Allemagne, mais aussi dans une très large mesure en France.

Le président Erdogan a l’habitude de s’adresser à ces communautés, en leur ordonnant de ne pas s’assimiler dans leur pays d’accueil. Il affirmait en 2010 : « personne ne peut vous demander d’être assimilé. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité, personne ne peut vous dire : renonce à tes valeurs ». Erdogan encourage également la diaspora turque à adopter la nationalité de leur pays de résidence, tout en gardant la nationalité turque.



Voilà à quoi nous exposent le laxisme volontaire et la tolérance coupable, complices de cette état de choses par choix contre le catholicisme de la part de nos dirigeants qui ne font, en réalité, qu’appliquer les directives de ceux (les maîtres de l’argent apatrides) qui les manipulent ; la complicité de ceux qui, croyant voter pour « le moindre mal », promeuvent lesdits dirigeants au pouvoir (apparent mais, en fait et nécessairement, entre les mains desdits maîtres de l’argent apatrides comme de véritables marionnettes), et l’apostasie générale de notre société anciennement chrétienne dont les membres, au nom de ce « moindre mal », acceptent tout cela sans rechigner !…

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« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyMer 2 Oct - 13:08

Antoine BELLION (Avenir de la Culture) a écrit:

[…]

Dans une tribune du Figaro publiée le 31 juillet 2019, le sociologue et directeur de recherche au CNRS Philippe d'Iribarne, analyse « les freins psychologiques et les blocages culturels qui conduisent les Français au déni sur certains aspects de l’Islam. »

[…]

Se construit […] un mythe indéboulonnable de nos jours : celui d’un « Islam imaginaire, religion de paix, protégé par une sorte de muraille de Chine de ce qu’enseigne l’observation, présenté comme le “vrai Islam”. Tout ce qui questionne l’image d’Épinal ainsi construite est réputé n’avoir “rien à voir avec l’Islam” ou du moins relever de simples “dérives” ».

Toutes les excuses sont de sortie : « Les musulmans qui sombrent dans le terrorisme ont des problèmes psychiatriques ou sont victimes de sociétés qui les rejettent. Alors que la colonisation française du Maghreb est déclarée “crime contre l’humanité”, la colonisation musulmane de l’Espagne est présentée comme éminemment civilisatrice, facteur de culture et de paix. »

Deux poids, deux mesures, encore et toujours…

Et puis, fait remarquer M. d’Iribarne, « comme la meilleure défense est l’attaque, ce sont ceux qui prêtent attention aux aspects problématiques de l’Islam qui sont dénoncés, déclarés islamophobes, accusés d’être aveuglés par une hostilité viscérale envers l’Islam en soi et les musulmans en tant que tels. Là encore, le discours ne veut rien connaître des faits. »

Pire, « le simple fait de scruter sans a priori la réalité du monde musulman fait scandale, car cela risque de conduire à ‘stigmatiser’ un groupe particulier de citoyens. »

Il s’agit bien d’un aveuglement socio-politique des plus dangereux, qui fait le jeu des islamistes.

Source : https://www.avenirdelaculture.info/face-a-lislam-le-deni-persiste-et-signe/
Source de la source : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/islam-pourquoi-beaucoup-en-france-s-interdisent-de-nommer-les-faits-qui-genent-20190730

Dans son entrée en matière, Monsieur Philippe d’Iribarne a écrit:

Il n’est sans doute pas de sujet plus clivant dans la France d’aujourd’hui que ce qui touche à l’islam et au monde musulman. Il n’est quasiment pas de semaine sans que la polémique ne renaisse à son propos: la tenue islamique, du burkini dans les piscines aux mères voilées accompagnant les sorties scolaires, vue par certains comme un symbole féministe de liberté en dépit de la place que lui donnent les pays musulmans les plus attachés à l’enfermement des femmes ; les agressions contre des juifs ponctuées de «Allah akbar», dont on voit nier qu’elles aient un rapport avec une forme d’antisémitisme.

D’autres thèmes surgissent de façon plus épisodique, telles, récemment, les manifestations des supporteurs de l’équipe de football d’Algérie, que tout le monde auraient trouvées insupportables si les supporteurs du PSG ou de l’OM étaient en cause, [...]

(LE FIGARO PREMIUM : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/islam-pourquoi-beaucoup-en-france-s-interdisent-de-nommer-les-faits-qui-genent-20190730.)

Mais pourquoi donc ces messieurs s’émeuvent-ils de ce que « Il n’est sans doute pas de sujet plus clivant dans la France d’aujourd’hui que ce qui touche à l’islam et au monde musulman » et ce que « Il s’agit bien d’un aveuglement socio-politique […] qui fait le jeu des islamistes » quand la raison de tout cela est pourtant évidente pour qui n’a pas rejeté aux orties les fondations catholiques de notre civilisation et déplore ce refus généralisé desdites fondations catholiques ?

Cf. Laïcité = ANTI-CATHOLICISME : https://foicatholique.1fr1.net/t4869-pourriture-du-monde-actuel#34913
Le résultat de cette apostasie générale est entièrement logique !

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Jean-Paul BONTEMPS
 
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
 
« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)

« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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MessageSujet: Re: Résultat…   Résultat… EmptyLun 7 Oct - 14:54

Guillaume GATTERMANN (Avenir de la Culture) a écrit:

Mohamed : un des vingt prénoms les plus populaires de France !

[…]

Résultat… Mohamed-nom-FR


Ce que révèle l’hebdomadaire Valeurs Actuelles du trois septembre 2019 est atterrant : pour la première fois de l'histoire de l'Officiel des Prénoms, le prénom Mohamed fait son entrée dans le Top 20 des prénoms en France. Depuis le début de l’année 2019, il a déjà été donné à 2 500 petits garçons !

[…]

L’une des raisons est la suivante : [selon Stéphanie Rapoport qui « a fait part de son analyse au Parisien » précise Guillaume GATTERMANN dans son article]1, « Comme toutes les familles, celles de religion musulmane profitent désormais, et elles ne s’en privent pas, d’un gisement exponentiel de prénoms dans lequel elles peuvent puiser. La tradition Mohamed perdure, […] ».

Cela est en effet possible, depuis 1993 et l'assouplissement de la loi, de choisir n'importe quel prénom du moment qu'il ne porte pas préjudice, rappelle Valeurs Actuelles.

Une situation complètement différente par rapport à celle du début du XXe siècle quand les familles n'avaient le choix qu'entre seulement 2 000 prénoms présents dans le calendrier catholique des saints ou dans une liste de personnages de l'histoire ancienne. En 1900, par exemple, une petite fille sur cinq était baptisée Marie. Cette époque semble bien loin…

Reste que cette percée « historique » du prénom Mohamed est clairement révélatrice de l’islamisation progressive de notre pays, ce dont les médias se gardent bien de souligner.

  1. Entre crochets de JPB.
(Source: https://www.avenirdelaculture.info/mohamed-un-des-vingt-prenoms-les-plus-populaires-de-france/.)

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« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)

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