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Sujet: L'exemple des Cristeros! Ven 27 Avr - 2:18
Non, la répression n'est pas encore ce qu'elle était dans le Mexique franc-maçon de 1926, mais... Elle avance... Doucement mais sûrement...
Les Cristeros sont ces paysans mexicains qui ont pris les armes de 1926 à 1929 – et de nouveau en 1935 – pour défendre leur foi contre un gouvernement athée et violemment anti-religieux.
En 1911, se termine au Mexique une période relativement paisible de 40 ans, qui a permis à l’Eglise de se développer et de s’implanter plus solidement dans un pays où la foi catholique était déjà très enracinée, tant chez les Indiens que chez les métis et les Blancs. Les ordres religieux sont florissants. Mais surtout arrivent des générations de laïcs très dynamiques, organisés, actifs, qui créent des structures chrétiennes dans beaucoup de secteurs : Presse, action sociale, syndicats ; un projet de réforme agraire est même élaboré. Dans les campagnes, qui représentent les 2/3 des 15 millions d’habitants, les paroisses se multiplient, et la foi est au centre de la vie quotidienne, par le rosaire, la messe, et naturellement le curé. Le Mexique est très attaché à sa patronne, N-D de Guadalupe. En Janvier 1914, les évêques consacrent le pays au Christ-Roi.
Face à cette population, s’est développée une bourgeoisie d’affaire, très marquée par le positivisme d’Auguste Conte, et qui s’est donné pour devise : « Ordre et progrès ». Le syndicalisme socialiste s’est implanté dans les villes, parmi les ouvriers et les employés, hostiles aux paysans dont la foi et la mentalité leur sont étrangers. Quant à l’armée, la majorité de ses cadres sont francs-maçons. A l’arrière-plan se tiennent les Etats-Unis, dont les loges ont inscrit à leur programme la guerre contre le Mexique catholique. Cela se traduit par une guerre économique et financière, puis par un soutien actif à toutes les politiques anticléricales menées au Mexique. La logique est celle des WASP ; Elimination de tout ce qui n’est pas blanc, anglo-saxon et protestant.
" Nihil Deo et angelis gratius animae conversione." " Rien n'est plus agréable à Dieu et aux Anges que la conversion d'une âme."
Saint Ambroise, évêque de Milan.
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Ven 27 Avr - 2:18
C’est donc avec enthousiasme que les autorités américaines voient arriver au pouvoir des généraux mexicains tels que les loges les avaient rêvés : Successivement Carranza (1915-20), Obregon (1920-28), et Calles (1928-35). Obregon recevra d’ailleurs, à son accession au pouvoir, un télégramme des églises épiscopaliennes l’assurant de leurs prières « dans sa lutte pour desserrer l’étau de l’Eglise Catholique Romaine sur sa grande nation ».
Avec Obregon et surtout Calles, arrive un pouvoir révolutionnaire qui a 2 sources idéologiques :
- Celle des loges maçonniques US ; le Président Portes Gil peut dire en 1929 : « Au Mexique, état et maçonnerie sont une seule et même chose depuis plusieurs années ».
- Et en même temps, dans un paradoxe qui n’est qu’apparent, le Marxisme, dès que des relations diplomatiques sont établies avec l’URSS.
Il en ressort un programme révolutionnaire simple : La révolution, c’est la Nation. Et la Nation n’admet rien au dessus d’elle.
Or l’Eglise est la seule force indépendante et capable de constituer un contre-pouvoir. Elle est donc désignée officiellement comme « cause de tous les malheurs qui ont accablé le Mexique depuis la conquête espagnole ». La persécution ouverte commence en 1917, dans un pays miné par la famine et la grippe espagnole, avec le vote d’une nouvelle constitution. Parmi de nombreuses lois révolutionnaires, plusieurs provoquent de vives réactions, notamment :
- Les lois anticléricales : Les ordres religieux sont dissous. Le clergé perd ses droits civiques, n’a plus le droit d’enseigner, ni de voter, ni de posséder. Les prêtres doivent s’inscrire à un registre d’état ; le but avoué est de créer une église nationale.
- Les lois sur l’école : Les parents perdent le droit de veiller à l’éducation des enfants, qui deviennent propriété de la Révolution Calles : « Nous devons nous emparer de la conscience de la jeunesse, parce que l’enfant appartient à la Révolution au corps collectif » (1934). C’est le début d’une rééducation très agressive des enfants dans les écoles. Endoctrinement révolutionnaire, éduction sexuelle à coups de films pornographiques, crucifix remplacés par des images obscènes ou sacrilèges, etc…
Calles, « el Jefe Maximo » finira par créer un parti unique, le Parti National Révolutionnaire, pour mieux contrôler la population.
Son fanatisme est presque dépassé par celui du gouverneur de l’Etat de Tabasco, Garrido Canabal. Dans cet état, les noms des rues qui portent des noms de saints deviennent des numéros. Les croix et inscriptions à caractère religieux sont arrachées et effacées jusque dans les cimetières, et les tombes, elles aussi, se voient dotées de numéros.
Les églises sont saisies et profanées, servent à des cérémonies parodiques et sacrilèges.
Le jour de la fête de N-D de Guadalupe, son image est brûlée en place publique, devant les enfants des écoles.
La crise éclate en Juillet 1926, avec la fameuse loi Calles, qui décrète la fermeture des écoles et des couvents, l’expulsion des prêtres d’origine étrangère, la limitation du nombre des prêtres mexicains, et leur enregistrement obligatoire. Les évêques se voient obligés de suspendre le culte dans toutes les églises du pays.
C’en est trop pour le peuple.
Dans les campagnes c’est le soulèvement spontané, sans concertation ni tactique militaire. Les paysans ne savent qu’une chose : Le gouvernement s’attaque à la royauté du Christ sur leur pays. Ils partent en criant : « Viva Cristo Rey, viva Nuestra Senora de Guadalupe ! ». De nombreuses lettres en témoignent : Ils ne cherchent pas tant la victoire que le sacrifice de leur vie pour mériter le salut de leur pays, le martyre plutôt que d’accepter la société sans dieu qu’on veut leur imposer. C’est la guerre des pauvres, des petits propiétaires ; la participation des Indiens est presque générale ; parfois des familles entières partent dans les montagnes. Pas de chef suprême, au début ; Les chefs sont choisis par les hommes, pour leurs qualités humaines et militaires. Les troupes fédérales sont attaquées avec des pierres, des bâtons, des fourches, des machettes. Les armes et les munitions doivent être prises su l’ennemi. Les premiers assauts se soldent par des massacres de paysans. Puis l’organisation s’améliore : Aux batailles rangées succède la guérilla, sous l’influence du Général Gorostiteta, agnostique qui sympathise avec la cause des Cristeros et devient leur théoricien tactique. Le manque de moyens est compensé par l’ardeur des troupes que les chef ont beaucoup de mal à canaliser. L’armée fédérale les redoute. La répression est féroce : Massacres de villages, pillages, tortures, viols ; Leurs « colonnes infernales » torturent avec une férocité inouïe les insurgés qui tombent entre leurs mains, surtout si ce sont des prêtres ou des femmes, membres des fameuses « brigades féminines » dont la jeunesse et le courage font l’admiration.
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Ven 27 Avr - 2:18
Le gouvernement a contraint les prêtres à quitter les campagnes. Une centaine d’entre eux restent, pour assister les combattants. Quatre-vingt-dix seront pris et fusillés, parfois après d’horribles tortures. Les Fédéraux, environ 150 000, ne résisteront qu’à grand-peine à la guérilla, contre laquelle ils ne savent pas lutter. Ils s’efforcent de tenir les villes et les voies ferrées. Pour les campagnes, la seule consigne est d’y semer la terreur. Aidés par l’argent et les munitions américaines, ils tiendront seulement le temps pour leur gouvernement de négocier un cessez-le-feu avec le Vatican.
Les troupes rebelles sont de plus en plus nombreuses, les morts sont aussitôt remplacés par leurs frères, leurs cousins, leurs amis. En Janvier 1927, ils sont 20 000, armés de fusils pris sur l’ennemi ; en Mars 1928, 35 000 ; en Mai 1929, 50 000.
L’armée fédérale demande sans cesse des renforts de troupes, d’avions, de munitions et d’argent. Ces derniers éléments sont largement fournis par les USA…
Dans les villes les messes sont clandestines, les prêtres sont traqués. Dans la rue ce sont les rafles, les viols, les arrestations surprises. On dénombre des centaines d’exécutions. Devant les pelotons d’exécutions les condamnés se tiennent les bras en croix, le chapelet à la main, et meurent en criant : « Vive le Christ-Roi, vive N-D de Guadalupe ! ». les Mexicains vénèrent particulièrement le Padre Miguel Pro, jeune Jésuite, fusillé avec plusieurs compagnons, et mort comme un saint après avoir pardonné à ses ennemis.
Très vite dans la population, s’organisent des réseaux clandestins qui servent au ravitaillement des combattants, au renseignement, au sabotage. Employés, étudiants, mères de familles… La plupart participent à l’effort de guerre, dans la mesure de leurs moyens, et trouvent parfois des complicités chez les épouses des chefs militaires, ou des décideurs de la grande bourgeoisie.
Finalement, parmi les Catholiques, les moins engagés sont les membres du clergé. Dès le début les évêques ont été très partagés sur la conduite à tenir ; seuls quelques uns approuvent ouvertement le soulèvement ; ils sont vite rappelés à l’ordre. Si la légitimité du combat armé a été reconnue, du bout des lèvres, la consigne qui prévaut est la prudence, et dès 1926 sont engagées des négociations avec le gouvernement. Pie XI est très mal renseigné – une de ses sources d’information est l’Ambassadeur de France qui soutient les loges américaines. Les consignes romaines interdisent aux Catholiques tout engagement politique – Pour l’engagement militaire, l’interdiction n’est pas explicite, mais Rome manifeste un hostilité marquée à tout engagement armé. Interdiction est faite aux prêtres de soutenir l’insurrection.
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Ven 27 Avr - 2:18
En Juin 1929, le gouvernement, pressé de mettre un terme à la guerre avant les élections présidentielles, obtient finalement l’aboutissement des négociations avec le Vatican ; ce sont les fameux « arreglos ».
Les Cristeros reçoivent du général qui a pris leur tête le télégramme qui restera longtemps dans leur mémoire, leur ordonnant « de se présenter à leurs autorités militaires et de faire livraison du matériel de guerre, pour recevoir sauf-conduits et retourner à la vie civile, jouissant garantie que donne la constitution à tous les citoyens honorables et conscients de leur devoir ».
Alors qu’ils étaient vainqueurs sur le plan militaire, des négociations se sont faites sans leur accord, qui les transforment en vaincus.
Ils doivent cesser la lutte et rendre les armes, sans contrepartie. Le télégramme tombe comme un couperet. Pour le peuple combattant c’est la stupeur, l’incompréhension, l’amertume. Pour beaucoup, la tentation est grande de se révolter contre Rome mais c’est finalement la foi qui l’emporte. Preuve que c’était bien pour Dieu qu’ils s’étaient battus : Ils obéissent en renonçant à leur victoire humaine pour ne pas désobéir à Dieu, à travers ses représentants.
C’est peut-être dans cette obéissance ultime qu’ils sont le plus héroïques.
Les victoires de Dieu ont souvent l’air de défaites humaines – la gloire du Christ a été d’être obéissant jusqu’à la mort. Il était logique que la gloire des Cristeros soit de l’imiter jusqu’au bout, dans une obéissance à un ordre du Pape qu’il nous est encore bien difficile de comprendre.
Ils ont reçu leur récompense dans un monde qu’il ne nous est pas encore donné de connaître.
Que sont-ils devenus ?
Près de 100 000 d’entre eux sont morts en combattant. Beaucoup ont été enlevés, ou exécutés sommairement. Certains, se sachant recherchés, s’enfuient dans les montagnes, et mènent une vie de proscrits pendant des années. Beaucoup retournent à leur ferme et doivent composer avec les lois anticléricales, encore en vigueur de nos jours, ce qui est une autre forme de martyre.
Un deuxième soulèvement aura lieu en 1935, moins important que le premier, et sans plus de résultat.
De cette épopée magnifique, il nous reste un exemple de foi, de générosité, de mobilisation totale pour le règne du Christ sur toute la vie sociale. Il nous reste un cri qui claque comme une bannière, notre bannière :
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Dim 21 Nov - 23:44
La véritable histoire des Cristeros
En ce jour de la solennité du Christ-Roy, Sed-Contra nous propose un dossier très intéressant sur ces combattants mexicains du XX° siècle trop souvent oubliés, catholiques devenus soldats pour défendre le Règne social du Christ et tenter de sauvegarder sa royauté sur terre. Le sang des martyrs a coulé, beaucoup coulé... comme en France pendant la Révolution et jusqu'à nos jours, comme plus tard en Espagne : il fallait détruire l'infâme. Extraits : "Viva Cristo Rey ! On les appelle les Cristeros, par déformation du cri de guerre qu’ils avaient adopté : Viva Cristo Rey ! En 1925, dans l’année qui précède l’insurrection générale, Pie XI avait proclamé le Christ “Roi des Nations” (Quas Primas). Au Mexique, une nation entière se mobilise aussitôt sous les drapeaux du Dieu fait homme, elle marche vers les mitrailleuses et les canons de l’Antéchrist parce qu’elle refuse l’abdication des dernières libertés de sa foi. Cette épopée des Cristeros a donné plus de martyrs à l’Église universelle que les déchaînements de la persécution religieuse en République espagnole, dix ans après. Leur Cristiada entre de plain-pied avec le soulèvement de Vendée : catholique et royal chez les insurgés mexicains en la seule personne de Notre Seigneur Jésus-Christ. Elle n’est connue pourtant, aujourd’hui encore, que de quelques initiés.Le soulèvement des cristeros s’inscrit au Mexique dans l’histoire d’une longue persécution … La Constitution révolutionnaire de 1917 institue la dictature suprême de l’État contre les droits de la religion. A partir de 1924, le président Calles veut frapper un grand coup : il confie à l’armée l’application des lois antireligieuses du régime précédent. Viva el Demonio !
L’antithéisme de l’armée fédérale mexicaine n’est pas un vain mot. Le général Eulogio Ortiz fit fusiller séance tenante un de ses soldats qu’on avait surpris au bain, porteur d’une médaille de la Virgen de Guadalupe. Un peu partout, les officiers investissent à cheval la maison du Seigneur. Ils profanent les saintes espèces, organisent des orgies sur l’autel, montent en chaire pour blasphémer et dansent avec les statues ! Toute la hiérarchie militaire est affiliée aux Loges : elle se donne pour mission de “défanatiser”le Mexique, en extirpant la foi. Certains États punissent d’une amende de 10 Pesos – une fortune, pour les paysans – la moindre allusion sur la voie publique au nom du Tout-Puissant. On ne dira plus adios, ni si Dios quiere (si Dieu veut) ; les mendiants eux-mêmes (pordioseros) doivent changer de litanies. Le président Calles invente d’incroyables mesures pour limiter le nombre des prêtres, jusqu’à celles qui les laisseront tous dans l’illégalité. Les gouverneurs d’Etat se surpassent, ils feront mieux que lui. Et les fidèles bien sûr ne sont pas épargnés. Voici le texte d’une proclamation officielle, affichée sur les portes des églises au début de l’été 1926 :ART. 1 : Tout individu responsable d’une église sera condamné à 50 Pesos d’amende et un an de prison si les cloches sonnent. ART. 2 : Pour toute personne qui apprend à prier à ses enfants, la même peine. ART. 3 : Dans toute maison où il se trouvera des “images pieuses », idem.ART. 4 : Toute personne qui porte des “médailles » sur lui, idem.Parallèlement aux profanations, l’artillerie de l’armée fédérale entreprend de détruire les édifices religieux. Dans tout l’État de Tabasco, à la veille de la dernière guerre mondiale, ne restaient sur pied que l’église de Cunduacan, transformée en garnison, et trois chapelles de village perdues dans les monts. La Révolution mexicaine interdisait militairement au peuple de restaurer les ruines ; et elle-même n’a jamais rien construit. Aujourd’hui encore, elle abrite ses musées dans des couvents confisqués à l’Église, et ses gouverneurs dans les palais épiscopaux… Toutes les Révolutions se rassemblent, dans leur néant".
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Mer 16 Mai - 17:40
ILS essaient de liquider le film « Cristiada » : qui sont-ils ?
ILS essaient de liquider le film de Dean Wright, celui qui parle du combat des Cristeros mexicains partis en guerres contre la franc-maçonnerie dirigeante engagée dans l’extermination de l’Eglise Catholique et du Christ au Mexique.
Qui sont ces ILS ?
Les mêmes que ceux qui ont tout fait pour couler « Passion » de Mel Gibson ou « Katyn » de Wajda en ne les distribuant pas, en liquidant toute promotion : En France ces distributeurs qui ont refusé de distribuer La « Passion » s’appellent Marin Karmitz président de la Fédération Nationale des Distributeurs de Films (Boycott : Ancien militant maoïste, Marin Karmitz, président du MK2 Group =premier distributeur indépendant français).
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JP B Baptisé
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Mer 16 Mai - 18:23
Citation :
Chacun sait que les medias et notamment la distribution des films sont dans les mains de nos « Frères Ainés » et que ce sont eux qui se caractérisent par leur haine furieuse de tout ce qui est chrétien. Ils bloquent la sortie des films, « facilitent » toutes les critiques abjectes etc.
http://www.contre-info.com/ils-essaient-de-liquider-le-film-cristiada-qui-sont-ils, à la fin.
_________________
Jean-Paul BONTEMPS
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)
« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Dim 4 Nov - 17:44
Regarde actuellement "For greather Glory", un film que vous ne verrez pas en France puisqu'il gêne la Judéo-maçonnerie au pouvoir.
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JP B Baptisé
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros! Dim 25 Sep - 20:24
Certains mauvais, voire faux, catholiques, qui ne sont catholiques que de nom, accusent de façon impie Sa Sainteté Pie XI d’avoir trahi les Cristeros en leur demandant de déposer les armes.
Qu’en est-il exactement ?
Voici deux textes du Pape qui rétablissent la vérité.
Le premier, « après une première lettre apostolique à l'Episcopat mexicain » (Mgr Fontenelle chanoine de saint Pierre, Sa Sainteté Pie XI, édition Spes - Paris - 1938), est l’Encyclique Iniquis afflictisque, rédigée en espagnol et dont on trouve une traduction française ici (https://bibliothequedecombat.files.wordpress.com/2013/05/1926-pie-xi-iniquis-afflictisque.pdf).
Dans cette Encyclique, Sa Sainteté a écrit:
[…]
En raison donc des supplications par vous prescrites à cet effet et adressées au ciel en particulier et en public, Notre volonté est que vous ne soyez point frustrés, non plus que vos fidèles, du témoignage très éclatant de Notre bienveillante gratitude. Or, ces prières ayant déjà commencé de produire des fruits salutaires, il importe d'autant plus de ne point du tout les interrompre, mais au contraire de les continuer avec un redoublement de ferveur. Il ne dépend certainement pas des simples mortels de faire tourner et servir au salut de la société humaine les vicissitudes des choses et des temps, en modifiant les idées et les sentiments des hommes : c'est la volonté divine que cela regarde ; elle seule peut mettre [fin]* à de pareilles persécutions et les endiguer une bonne fois. * sino del Ser divino, el cual es el único que puede poner fin y término a tales vejaciones. (Fin du 3ième § en français, 2ième en espagnol : http://luxdomini.net/_gpe/contenido1/iniquis_afflictisque.htm.)
[…] conformément à la loi promulguée par le président de la République le 2 juillet de cette année (1926), presque aucune parcelle de liberté ne reste ni n'est laissée à l'Eglise dans ces contrées. L'exercice du saint ministère y est tellement entravé qu'on le punit de peines très sévères à l'instar d'un crime capital. Vous ne sauriez croire, Vénérables Frères, combien Nous afflige une si grande perversité dans le fonctionnement de l'autorité publique. Quiconque rend à Dieu Créateur et à notre très aimant Rédempteur le culte dont il leur est rigoureusement redevable, quiconque veut obéir aux préceptes de notre Mère la Sainte Eglise, celui-là, oui, celui-là sera réputé criminel et malfaiteur, celui-là méritera qu'on le prive de ses droits civils, celui-là devra être jeté dans la même prison que les scélérats. Oh ! comme elles s'appliquent bien aux auteurs de telles énormités les paroles qu'adressait aux princes des Juifs Notre-Seigneur Jésus-Christ : Voici venues votre heure et la puissance des ténèbres. (Luc. XXII, 53.) Parmi ces lois, la dernière en date s'est ajoutée à une autre loi antérieure, non point tant pour l'interpréter, comme on l'a prétendu, que pour l'aggraver encore et la rendre plus insoutenable ; et le président de la République, secondé de ses ministres, en presse si vivement l'application qu'il ne peut souffrir, de la part de ses subordonnés, gouverneurs des Etats fédérés, magistrats ou commandants militaires, le moindre ralentissement dans la persécution contre les catholiques. Et à la persécution se joint l'insulte. On a pris l'habitude d'incriminer l'Eglise aux yeux du peuple, ici en des conférences publiques, par d'impudents mensonges, taudis que les huées et les injures couvrent la voix des nôtres et les empêchent de faire entendre la réplique ; là au moyen de journaux, ennemis déclarés de la vérité et de l'action catholique. Si, au début, les catholiques ont pu tenter dans une certaine mesure de défendre dans les journaux quotidiens l'Eglise et d'en faire l'apologie, en exposant la vérité et en réfutant les erreurs, désormais, â ces bons citoyens qui aiment sincèrement leur patrie, il n'est plus permis d'élever, même inutilement, leurs voix plaintives pour la liberté de la foi ancestrale et du culte divin. Mais Nous, mû que Nous sommes par la conscience de Notre devoir apostolique, Nous pousserons le cri d'alarme, afin que tout le monde catholique apprenne du Père commun à quel point d'une part s'est déchaînée la tyrannie effrénée de nos adversaires, et quelle fut aussi d'autre part la vertu, la constance héroïque des évêques, des prêtres, des familles religieuses et des laïques.
[…]
Et maintenant, Vénérables Frères, Nous jugeons convenable de vous exposer en peu de mots comment évêques, prêtres et fidèles du Mexique se levèrent pour faire front et opposer un rempart aux ennemis de la maison d'Israël, comment ils demeurèrent fermes dans la lutte. (Cf. Ézé., XIII, 5.) On ne pouvait douter que les évêques mexicains ne dussent essayer unanimement de tous les moyens disponibles pour défendre la liberté et la dignité de l'Eglise. Ils commencèrent par adresser au peuple une lettre collective. Après y avoir prouvé clair comme le jour que l'amour de la paix, la prudence et la patience n'avaient jamais cessé d'inspirer le clergé dans son attitude vis-à-vis des chefs de la République et qu'il avait même témoigné de dispositions trop libérales en tolérant des lois peu conformes à la justice, ils rappelèrent aux fidèles, non sans leur expliquer la doctrine de la constitution divine de l'Eglise, l'obligation qu'il y avait pour eux de persévérer dans la religion catholique, et ainsi n’obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes (Act. V, 29), chaque fois que l'on voudrait leur imposer des lois non moins contraires à la notion même et au nom de loi qu'en désaccord avec la constitution et la vie de l'Eglise.
[…] Par ailleurs, les prêtres ont imité et reproduit en leurs personnes la prodigieuse constance des évêques, aux cours des affligeantes vicissitudes du conflit, tellement que leurs merveilleux exemples de vertu, pour Nous si réconfortants, Nous les proclamons et les louons à la face de tout le monde catholique, parce qu'ils en sont dignes (Apoc. 3, 4).
[…]
Nous ne louerons jamais assez les courageux fidèles du Mexique ; ils ont parfaitement compris combien il importe que cette nation catholique, en des matières si graves et si saintes que le culte divin, la liberté de l'Eglise et le soin du salut éternel des âmes, ne dépende pas de l'audacieux arbitraire d'un petit nombre d'hommes, mais qu'elle soit enfin, grâce à la miséricorde divine, gouvernée pour de bon d'après de justes lois conformes au triple droit naturel, divin et ecclésiastique.
Nous devons un hommage tout particulier aux associations catholiques, qui constituent dans la crise actuelle pour le clergé et à ses côtés une espèce d'armée auxiliaire, puisque leurs membres s'efforcent, autant qu'ils le peuvent, non seulement de pourvoir à l'entretien des prêtres et de leur venir en aide, mais encore de veiller sur les édifices sacrés et d'apprendre le catéchisme aux enfants ; véritables soldats de garde, ils se donnent pour mission d'avertir les prêtres afin que personne ne soit privé de leur assistance. Ce que Nous disons là s'applique à toutes sans exception, mais il Nous plaît d'y ajouter quelques mots touchant les principales associations de ce genre pour leur faire savoir que chacune d'elles est pleinement approuvée et hautement louée par le Souverain Pontife.
La première de toutes, la Société des Chevaliers de Colomb, s'étend à la République entière : elle se compose en grande partie d'hommes actifs et laborieux, aussi recommandables par leur expérience des affaires que par la profession publique de leur foi et leur zèle à se porter au secours de l'Eglise ; elle dirige spécialement deux œuvres plus opportunes à notre époque que ne le fut jamais aucune autre le passé : c'est d'abord l'Association nationale des Pères de famille, ayant comme programme de procurer une éducation catholique aux propres enfants de ses adhérents et de revendiquer pour les parents chrétiens le droit naturel d'élever les leurs à leur guise, et, là où ceux-ci fréquentent les écoles publiques, de leur donner une saine et complète instruction religieuse ; c'est ensuite la Fédération pour la défense de la liberté religieuse définitivement établie, quand il apparut avec une évidente clarté qu'un véritable déluge de maux menaçait la vie catholique. Une fois que cette Fédération se fut répandue dans toute la nation, ses membres travaillèrent avec concorde et persévérance à l'organisation de tous les catholiques et à leur formation, en vue de les bien camper, sur un front unique et très solide, en face de leurs adversaires. Deux autres Sociétés n'ont pas moins bien mérité de l'Eglise et de la patrie que les Chevaliers de Colomb, l'Association catholique de la Jeunesse mexicaine et l'Union ou Fédération catholique des Femmes mexicaines. L'une des spécialités de leurs programmes respectifs est de collaborer à l'œuvre dite de l'Action catholique sociale. Tout en poursuivant le but qui leur est propre, elles ne laissent pas d'appuyer et de faire en sorte que l'on appuie partout les initiatives prises par la Fédération pour la défense de la liberté religieuse. Il serait trop long, Vénérables Frères, d'examiner une à une toutes les particularités.
Nous ne retenons que celle-ci : à savoir que tous les membres — hommes et femmes — de ces diverses sociétés sont si peu timides qu'ils vont au-devant du danger, bien loin de le fuir, et se réjouissent d'avoir quelque chose à souffrir de la part de leurs ennemis. Ô spectacle magnifique donné au monde, aux anges et aux hommes ! Ô nobles actions, dignes d'éternelles louanges !
Ils ne sont point rares, en effet, comme Nous l'avons dit, les Chevaliers de Colomb, les chefs de la Fédération, les femmes et les jeunes gens que des piquets de soldats conduisirent enchaînés à travers les rues, pour les jeter ensuite en d'infectes prisons ; ils ne sont point rares ceux qui sont traités brutalement, condamnés à payer l'amende et punis de diverses peines. Bien plus, Vénérables Frères, quelques-uns de ces adolescents et de ces jeunes gens — et, en le racontant, Nous ne pouvons retenir Nos larmes — sont allés à la mort de leur propre gré, avec, à la main, leur chapelet, et sur les lèvres des invocations au Christ-Roi. Nos vierges eurent à subir, dans leur prison, d'indignes outrages, que l'on divulgua tout exprès pour intimider les autres et les détourner de leur devoir.
Quand est-ce donc, Vénérables Frères, que le Dieu de toute bonté imposera des bornes et mettra un terme à cette calamité ? Personne ne peut ni le soupçonner ni le prévoir par le propre effort de sa pensée ; la seule chose que Nous sachions, c'est qu'un jour, pour l'Eglise du Mexique, le repos succédera à cette tempête de haine ; car, selon l'oracle divin, il n'y a point de sagesse ni de prudence ; il n'y a point de conseil contre le Seigneur (Prov., XXI, 30) ; et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre l'Epouse immaculée du Christ (Mat., XVI, 18).
[…]
(Souligné d’un trait par JPB.)
Le second est celui de l’ allocution consistoriale du 20 décembre 1926 récapitulant les « véhémentes protestations » (Mgr Fontenelle, op. cit.) de Pie XI « sur la très dure condition du catholicisme dans les Etats fédérés du Mexique » ( idem – Catherine : http://messe.forumactif.org/t5619-di-falco-et-les-cristeros#105972) dont voici un extrait
Citation :
Et tout d'abord, Nous suivons en esprit, Nous pourrions presque dire des yeux, les bouleversements de l'Eglise du Mexique, victime de persécutions aussi impies que cruelles des chefs de cette République. Ces gouvernants — tels l'homme de péché et fils de perdition, qui, suivant les paroles de saint Paul, doit paraître à la fin du monde — renversent et foulent aux pieds tout ce qui s'appelle Dieu ou est l'objet d'un culte. Opprimant les âmes, ils traitent ce noble peuple comme un troupeau d'esclaves ou de criminels ; ils le font sous le couvert et au nom de lois, qui n'ont de lois que le nom, car elles sont en contradiction formelle avec tous les droits divins et humains.
Mais, au milieu de tant de cruautés et de hontes, avec quelle noblesse, avec quelle dignité se conduisent les catholiques de cette nation aussi généreuse qu'éprouvée ! Evêques et prêtres, religieux et laïques, riches et pauvres, hommes et femmes, personnes d'âge mûr et jeunes gens, bien plus, adolescents et jeunes filles dans la première fleur de l'âge, donnent, déjà depuis de nombreux mois, un spectacle qui fait l'admiration des anges de Dieu comme de tous les hommes de cœur. Car il est bien vrai : pour garder intacts l'honneur de Dieu et la dignité de leur conscience, pour ne point séparer leur vie d'avec leur foi, pour ne point abandonner l'union avec l'Eglise catholique, apostolique et romaine, pour rester fidèles au Vicaire de Jésus-Christ et ne pas enfreindre ses ordres, ils ont souffert tous les genres d'injustices, l'exil, la prison et des opprobres pires même que la mort. La vie de beaucoup ne fut pas épargnée. Des fidèles ont trouvé la mort pendant qu'ils acclamaient le Christ-Roi ou récitaient le Rosaire en l'honneur de la Vierge Mère de Dieu. Par ce témoignage de leur foi et de leur courage, ils ont d'abord fortifié leurs frères ; puis, par une fin si glorieuse, ils ont à jamais consacré leur mémoire.
Leur sacrifice ne sera pas non plus stérile pour le bien commun, car ils rendront ainsi plus auguste et plus magnifique le jour si désiré de la victoire et de la paix ; ils en hâteront même la venue en demandant par la grande voix de leur sang répandu le repentir et le pardon de leurs persécuteurs et de leurs bourreaux. Nous-même implorons cette paix chaque jour et avec Nous tous les fidèles. Nous en sommes certain, car bien des fois Nous leur en avons exprimé le souhait.
Ces événements, douloureux en vérité, bien que magnifiques et pleins de consolation, Nous les avons traités récemment dans la lettre encyclique Iniquis afflictisque. A cette occasion, Nous nous sommes appuyé sur des documents et des témoignages irrécusables ; et cependant, à considérer les faits et les récits, Notre exposé était bien inférieur à la réalité, car Nous voulions échapper à tout reproche d'exagération. Mais dans ce Consistoire, Vénérables Frères, Nous ne pouvions siéger avec vous sans dénoncer encore une fois au monde entier cette inique interdiction d'honorer Dieu et de pratiquer sa religion — suppression d'une liberté sacrée, et violation de la dignité humaine, — sans proclamer en même temps ces admirables exemples de grandeur chrétienne. Cette plainte Nous paraît d'autant plus opportune à renouveler que, d'après les informations les plus récentes, la cruauté et l'impiété toujours plus grandes de leurs ennemis ne cessent point d'aggraver les persécutions qu'endurent les catholiques.
Tous les évêques ont été chassés de leur ville épiscopale ; des prêtres pieux ont été relégués, emprisonnés ou tués ; on a massacré des citoyens sans défense qui se rendaient en priant vers un sanctuaire de la Très Sainte Vierge ; on a outragé la très sainte Eucharistie ; on a arraché le Crucifix, image de notre Sauveur et Rédempteur, des écoles, même privées, en dépit des nobles protestations, publiques ou écrites, mais malheureusement vaines, de jeunes étudiants ; qu'ils n'en reçoivent pas moins les louanges et bénédictions, que Nous leur adressons d'un cœur paternel.
Ainsi, nous voyons si Sa Sainteté Pie XI s’est désintéressé du sort des Cristeros ! Ceux qui le prétendent sont des calomniateurs, donc des menteurs, et des impies scandaleux !…
Cela dit, on peut se poser la question de savoir pourquoi la hiérarchie catholique a demandé aux Cristeros de déposer les armes alors que, paraît-il, ils auraient pu gagner leur guerre et étaient peut-être sur le point de le faire. Nous ne connaissons pas la véritable raison, mais, tout comme on peut se poser cette question, on peut aussi se demander pourquoi le cardinal Siri, qui, paraît-il, aurait été élu dans un premier temps aux conclaves de 1958 et de 1963 et aurait d’abord accepté sa désignation, finalement a, officiellement du moins, renoncé à la charge pontificale…
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Jean-Paul BONTEMPS
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
« Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)
« car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)
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Sujet: Re: L'exemple des Cristeros!
L'exemple des Cristeros!
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