Origine du coran et de l'islam

Par le Frère Bruno Bonnet-Eymard

















L'Islam, entre mythe et histoire

AVANT L'ISLAM, L'ARABIE CHRÉTIENNE
Dès les premiers siècles de l'ère chrétienne, les tribus arabes se convertissent au contact des moines chrétiens, et secondent la colonisation romaine. De telle sorte qu'aux deuxième et troisième siècles, la province romaine d'Arabie, fondée par Trajan, après l'annexion du royaume des Nabatéens de Pétra en 106 après Jésus-Christ, rivalise avec les provinces les plus prospères de l'Empire. (…)
Toutefois, durant cette même période, le territoire transjordanien accueillit un grand nombre de sectes qui s'écartaient plus ou moins de l'orthodoxie. (…) Saint Épiphane de Salamine entreprit d'en dresser le catalogue et, au huitième siècle, saint Jean Damascène inscrira, sous le nom de « centième hérésie », « la religion des Ismaélites », à laquelle il ne donne pas encore le nom d' " islâm ". (…)
Cependant les sources littéraires montrent la vitalité d'une foi en Dieu Trinité sainte et consubstantielle et d'une très grande dévotion envers la Très Sainte Vierge, Mère de Dieu. (…)
Enfin, les inscriptions attestent la survivance des Églises chrétiennes depuis les persécutions juives dont furent victimes les chrétiens du Yémen au sixième siècle, jusqu'à la période des Omeyyades et des Abbassides, au huitième. (…)
Cette absence de rupture véritable entre la période byzantine et la période dite " musulmane ", attestée à la fois par les sources littéraires et par les vestiges archéologiques, pose une formidable énigme aux chercheurs modernes encore persuadés de la vérité historique de la conquête musulmane, qu'un auteur n'a cependant pas craint d'appeler The invisible conquest. (…)

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http://www.crc-resurrection.org/538-l-islam-entre-mythe-et-histoire.html

De l’islamophobie à l’islamologie

Dans le captivant récit de l’aventure de sa conversion, Joseph Fadelle raconte comment Massoud, son frère d’armes en Irak, sous le régime de Saddam Hussein, qui était chrétien, lui demanda s’il avait lu le Coran, lui, Mohammed, un Moussaoui, descendant du Prophète. Il bondit :
– Bien sûr, tu me prends pour un mécréant, un mauvais musulman ?
– Mais est-ce que tu l’as vraiment lu ? insiste doucement Massoud.
– Je te dis que je l’ai lu, et je le lis même en entier tous les ans, pendant le Ramadan ! Il y a trente parties dans le Coran, et le Ramadan dure trente jours...
– Et tu as compris le sens de chaque mot, de chaque verset ? ”
« La question qui pénètre en moi comme un dard acéré me déstabilise. Rouge de confusion, je ne trouve rien à répliquer, touché en un point sensible. Car les imams m’ont toujours enseigné que c’est la lecture du Coran de bout en bout qui sera récompensée au jour du jugement, beaucoup plus que la compréhension du texte. (...) Ce raisonnement de clercs avait satisfait ma curiosité, et plus insidieusement, légitimé ma pratique très superficielle de l’islam. Je n’ai donc pas vraiment cherché plus loin ce qui aurait pu déranger mon petit confort religieux.

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http://www.crc-resurrection.org/1835-de-l-islamophobie-a-l-islamologie.html




Quand l'Arabie était “heureuse”

Le premier livre des Rois rapporte que, mille ans avant l’adoration des mages à la Crèche, le roi Salomon reçut la visite de la reine de Saba. « Elle arriva à Jérusalem avec une suite très imposante, avec des chameaux chargés d’aromates, d’or en grande quantité et de pierres précieuses. » (1 R 10, 2)
Les anciens appelaient « Arabie Heureuse » le royaume de Saba, le sud de la péninsule arabique, à cause des vallées verdoyantes que le barrage de Mârib irriguait et fertilisait en canalisant le cours des eaux de pluie saisonnière. Ces vallées ont été habitées et cultivées depuis les temps les plus reculés, et très tôt organisées en États relativement complexes, dont l’archéologie moderne retrouve le riche passé millénaire, et l’attente religieuse illustrée par l’admiration de la reine de Saba pour « toute la sagesse de Salomon ».

La palmeraie d'une oasis, sur la piste caravanière
qui relie Zafar et Najran, en Arabie Heureuse.

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http://www.crc-resurrection.org/1836-quand-l-arabie-etait-heureuse.html

L'islam ne résiste pas à la critique historique

Dans Minute, Joël Prieur recense le dernier livre de Laurent Lagartempe, Origine de l’islam. Extrait :



"Les origines de l’islam ont été réélaborées après coup, dans une sorte de légende dorée. Avec un prophète, Mohammed, un livre sacré, le Coran, et une ville sainte, La Mecque. Pour Laurent Lagartempe, s’appuyant sur les travaux convergents de spécialistes qui osent enfin parler, il n’y a à l’origine de l’islam ni prophète (Mohammed est un personnage de composition), ni ville sainte (La Mecque n’existe qu’à partir des années 695, bien après le dé but de cette histoire), ni livre sacré (le Coran est un recueil de textes écrits en arabe par des prédicateurs messianistes, à l’attention des bédouins païens). [...]

Laurent Lagartempe, avec le talent rédactionnel qui est le sien et la puissance de composition qui lui permet de fixer les faits qu’il rapporte sur la toile de l’histoire universelle, n’entend pas faire oeuvre originale. Mais il diffuse efficacement les grandes questions que l’on doit poser aujourd’hui à l’islam. [...] On pourra hurler au sacrilège. Il faut bien que la science puisse demander des comptes à la religion. Cela a été le cas vis-à-vis du christianisme, disons depuis le Traité théologico-politique de Spinoza à la fin du XVIIe siècle. Les chrétiens ont mis leur honneur à répondre aux critiques qui leur étaient faites. Pour l’islam, engoncé dans la violence et dans le fondamentalisme, ce processus de critique scientifique ne fait que commencer."

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2010/01/lislam-ne-r%C3%A9siste-pas-%C3%A0-la-critique-historique.html#comments

Hanna Zakarias (Père Gabriel Thery)

De Moise à mohammed; l'islam, entreprise juive




http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=%20675

Résumé

— Nous éditons cet ouvrage comme un irremplaçable témoignage qui éclairera tous ceux qui voient monter « la deuxième religion de France ». — « L’Islam comme religion spécifique – écrit l’auteur – est un mythe. Son nom véritable et originel est JUDAÏSME : un avertisseur de la religion d’Israël (sourates XXV & LXXIII ; ici t. I, p. 177) ». Citons encore le nom du mystérieux « rabbin de la Mecque » (pp. 97. sq.), que Mme Zakarias semble ignorer : il s’agit du rabbin Ommaya ben Abiq Çalt, qui était d’ailleurs juif syriaque.

DE MOISE A MOHAMMED ; L'ISLAM, ENTREPRISE JUIVE - TOME 3

Citation :

Voici enfin redécouvert ce tome 3 (et bientôt le dernier tome 4) qui avait disparu de la circulation, si bien qu'on ne savait plus s'il existait ou pas un tome 3 et 4. — Nous éditons cet ouvrage comme un irremplaçable témoignage qui éclairera tous ceux qui voient monter « la deuxième religion de France ». — « L’Islam comme religion spécifique – écrit l’auteur – est un mythe. Son nom véritable et originel est JUDAÏSME : un avertisseur de la religion d’Israël (sourates XXV & LXXIII ; ici t. I, p. 177) ».

http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=1434&PSRC=%2F

par Anne-Marie Delcambre









The syro-aramaic reading of the quran, par Christoph Luxenberg

par le Père Edouard-Marie Gallez



« Le Coran n’a pris naissance ni à La Mecque, ni à Médine »





L’écriture en usage à La Mecque et à Médine était autre que celle des manuscrits coraniques les plus anciens, ce qui ressort des inscriptions gravées sud-arabiques. 
Le linguiste et Moyen-orientaliste Canadien Robert Kerr apporte un éclairage nouveau sur les origines de l’Islam. D’après ses recherches, l’alphabet utilisé dans les plus anciens manuscrits connus du Coran montre plutôt que le livre fondateur de l’Islam apparut dans la région actuellement couverte par la Jordanie, la Syrie et l’Irak et non à La Mecque ou à Médine.
R. Kerr est actuellement Professeur au département Archaeology and Classical Studies à l’Université Wilfrid Laurier de Waterloo, Ontario (Canada), après avoir travaillé à l’Université de Leiden en Hollande. Il y enseigne la langue et la linguistique arabes et hébraïques, l’araméen, plusieurs cours sur la Bible, le Talmud et le livre des Proverbes araméens de Ahikar, la littérature ougaritique, et des études comparatives.

suite:

http://lemessieetsonprophete.com/annexes/Kerr__Robert_origine_%C3%83%C2%A9criture_coranique.pdf (cliquez)

https://sites.google.com/site/catholicismerefuteislam (cliquez) 


Voir aussi:

Historicité de mahomet et du coran, par le frère E-M.Gallez

Site à consulter:

http://www.lemessieetsonprophete.com/

L'auteur du coran reprend à son compte des textes déjà existant.







Jésus dans le coran ? (1)

Jésus dans le coran ? (2)

Jésus dans le coran ? (3)

Jésus dans le coran ? (4)

Jésus dans l'islam ?

La Vierge Marie dans le coran ? (1)

La Vierge Marie dans le coran ? (2)

La Vierge Marie dans le coran ? (3)

La Vierge Marie dans l'islam ?

Jésus et Marie sont-ils en enfer ?

Saint Jean-Baptiste dans le coran ?

Alexandre le Grand dans le coran ?

Les Prophètes falsifiés ?

https://sites.google.com/site/catholicismerefuteislam/tout-sur-l-islam

par Sami Aldeeb.




La traduction du coran par Sami Aldeeb, avec en notes les sources talmudiques et autres des versets coraniques:

http://www.editions-aire.ch/details.php?id=1382

Citation :

Corruption des textes

http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/alterations_et_codicologie_coraniques.pdf

admin a écrit:

Merci pour cette enrichissante vidéo !
À partir de cet excellent travail, j’ai pu en écrire ce qui suit.

Isaïe (ou Ésaïe) est un prophète universellement reconnu.
Or, dans la version dite de « la Vulgate » qui est une traduction que St Jérôme de Stridon (mort 150 ans avant la naissance de Muhammad et environ 200 ans avant l’hégire) a réussi à dresser à partir des anciens textes en hébreux, grec et latins, pour en faire une compilation et ainsi en extraire une synthèse cohérente (version de la Vulgate qui présente ainsi toutes les garanties d’authenticité des textes et ne peut pas avoir été écrite contre l’islam…) voici ce qui est écrit dans Isaïe, chapitre IX (9), verset 6 et verset 7 :

Citation :

6. « […] un enfant nous est né ^[1], et un fils nous a été donné ; et sa principauté est sur son épaule ^[2], et son nom sera appelé Admirable, Conseiller, Dieu ^[3], Fort, Père du siècle à venir, Prince de la paix ^[4]. »
7. « Son empire ^[5] s’accroîtra ^[6] et la paix ^[4] n’aura pas de fin ^[7] ; sur le trône de David et sur son royaume il s’assiéra ^[8] pour l’affermir et le fortifier dans la justice ^[9] dès maintenant ^[6] à tout jamais ^[7]. […] »

Notes :

^[1] « […] un enfant nous est né » : dont on célèbre la naissance. Ce ne peut être مُحَمَّدُ dont les mahométans eux-mêmes ne savent pas exactement quand est né ce fils du diable : « Vers 570 (selon la tradition musulmane) » est-il écrit dans WikiPédia !…
^[2] La Bannière du Christ (car c’est bien sûr de Lui dont il s’agit), l’emblème de Sa Royauté, c’est la Croix qui, lors de Sa Passion, repose « sur son épaule » (avant qu’Il n’y soit cloué) ! Une autre version que la Vulgate donne, pour cette proposition indépendante de la phrase, ce texte : « et la domination repose sur son épaule ». Les Pères de l’Église (cf. La sainte Bible selon la Vulgate traduite en français, avec des notes par J.-B. Glaire. Nouvelle édition avec introductions, notes complémentaires et appendices par F. Vigouroux, Éditions D.F.T. 2002, p. 1579, note 6) les Pères de l’Église, dis, je, expliquent que le Sauveur a porté la marque de « sa principauté [Sa Royauté] sur son épaule », qu’Il a ainsi porté sur Son épaule la marque de Sa « domination », car la charge de tout gouvernement est un fardeau : le titre oriental de Vizir qui signifie « celui qui porte un fardeau », désigne les personnes qui sont revêtus d’une haute charge.
^[3] Mahomet (مُحَمَّدُ en arabe) a-t-il déjà été appelé “Dieu” ? Certes non ! Pas même par les mahométans les plus stricts, les plus rigoureux, les plus farouches, et encore moins avec les plus intransigeants…
^[4] Mahomet (مُحَمَّدُ en arabe) peut-il être dit « Prince de la paix », lui qui n’a cessé d’assassiner et de faire assassiner, et de provoquer des guerres et des dissensions partout ?…
^[5] « Son empire » religieux, Son Église Sainte.
^[6] Sur la terre. Sa sainte doctrine sera prêchée à tous les peuples et c’est ce qui est arrivé.
^[7] Dans le Ciel pour l’éternité.
^[8] Mahomet n’est pas descendant de David (qui lui-même descend d’Isaac) mais d’Ismaël, demi-frère d’Isaac. Les mahométans ne peuvent donc prétendre que مُحَمَّدُ s’assied sur le trône de David ! En revanche, Notre-Seigneur descend bien de David : cf. l’Évangile de St Matthieu, I, 1-16 (qui donne la généalogie de Jésus-Christ par Son père putatif, St Joseph dont le véritable père est Jacob), et l’Évangile de St Luc, III, 23-38 (qui donne Sa généalogie par Sa Très Sainte Mère toujours Vierge en citant, à la place de celle-ci, son époux St Joseph puisque la coutume juive faisait qu’on ne citât point les femmes, Très Sainte Vierge Marie dont le père est dit être Héli, frère utérin d’un autre Jacob mort sans enfant, en raison de cet autre usage juif appelé “lévirat” comme l’explique bien WikiPédia). Les deux Évangiles, de St Matthieu (I, 1-16) et de St Luc (III, 23-38) indiquent donc bien que Jésus-Christ Notre-Seigneur descend, des deux côtés (génétiquement par Sa Très Sainte Mère toujours Vierge, et légalement par Son père putatif, St Joseph) réellement de David !
^[9] On ne peut certes pas dire de l’exécrable Muhammad (Mahomet en français) qu’il a affermi et fortifié le royaume de David « dans la justice », lui qui n’a cessé d’assassiner et de faire assassiner, de provoquer des guerres et des dissensions partout, de voler, de violer, de mentir, etc., etc. !…

Et dire, après cela, que les mahométans prêchent un messianisme islamique ! 
Quels fous ! TOUTES les prophéties, quand elles ne sont pas falsifiées par ces imposteurs, vont contre leur FAUX prophète de malheur qui a, par ailleurs, été annoncé comme tel par Moïse de la part de Dieu, dans le Deutéronome, chapitre XVIII (18), verset 20 et décrit dans le verset 22 !…