Qu’il faille séparer l’État de l’Église, c’est une thèse absolument fausse, une très pernicieuse erreur.
Citation :
“Nous réprouvons et Nous condamnons la loi votée en France sur la séparation de l’Église et de l’État comme profondément injurieuse vis-à-vis de Dieu…”
Séparation Eglise-Etat, la base d’un authentique progrès social
Visite du Pape à l'ambassade d'Italie près le Saint-Siège
Citation :
L’Eglise apporte sa contribution à la promotion de la dignité de la personne et du bien commun de la société, mettant ainsi en pratique la collaboration tant souhaitée entre l’Etat et l’Eglise. Benoît XVI l’a réaffirmé lors de sa visite à l’ambassade d’Italie près le Saint Siège, renouvelant le geste de Pie XII, Paul VI et Jean Paul II. Depuis ce Palais du 16ème siècle dédié à Saint Borromée, le Pape a renouvelé ses souhaits de paix à toutes les nations de la terre, y compris à celles qui ne sont par représentées près le Saint Siège. Des souhaits de progrès humain authentique, d’entente et de prospérité! Cette visite a eu lieu deux mois après sa rencontre, au Palais du Quirinal, avec le président de la République italienne, et en vue du 1er février 2009, date du 80ème anniversaire de la signature, en 1929, des Pactes du Latran et du 25ème anniversaire de la réforme du Concordat.
Benoît XVI veut le dialogue entre cultures AFP 25/11/2008 . Le dialogue entre religions "au sens strict" est impossible mais le dialogue sur leurs implications culturelles est aujourd'hui "particulièrement urgent" affirme le pape Benoît XVI dans la préface d'un livre publié aujourd'hui en Italie.
Moins de trois semaines après avoir accueilli au Vatican une rencontre avec de hauts dignitaires musulmans, Benoît XVI réitère dans ce texte sa réticence à engager un dialogue proprement théologique avec les non chrétiens.
Le pape s'exprime dans une brève lettre au parlementaire de droite Marcello Pera que ce dernier publie en préface de son livre "Pourquoi nous devons nous dire chrétiens".
"Vous expliquez avec une grande clarté qu'un dialogue interreligieux au sens strict du mot n'est pas possible, alors que le dialogue interculturel, approfondissant les conséquences culturelles de la décision religieuse de fond, s'avère particulièrement urgent", écrit-il.
Un "vrai dialogue" interreligieux impliquerait de "mettre sa propre foi entre parenthèse", ce qui "n'est pas possible", précise le pape.
Ce texte a relancé les commentaires sur la solidité de l'engagement du pape dans le dialogue avec les non chrétiens, deux ans après son "discours de Ratisbonne" (septembre 2006, Allemagne) qui avait provoqué une crise dans les relations du Vatican avec l'islam.
Mais la thèse exprimée par Benoît XVI "n'a rien de nouveau" et "ne contredit pas ses gestes symboliques comme ses visites dans des synagogues, à la mosquée bleue d'Istanbul, ou ses rencontres avec des représentants de diverses religions", a commenté le porte-parole du Vatican Federico Lombardi, interrogé par l'AFP.
Mgr Gianfranco Ravasi : le successeur du cardinal Paul Poupard à la Culture
Après plus de vingt-six années de responsabilité continue à la tête d'un dicastère de la Curie, le cardinal Paul Poupard passe le relais de « ministre de la Culture » à Mgr Gianfranco Ravasi. Le nouveau président du Conseil pontifical en charge de ces questions connaît déjà Rome et les arcanes vaticanes. Membre de la Commission théologique internationale (1985-1995), cet exégète de 65 ans a travaillé sous la présidence du cardinal Joseph Ratzinger. Mais c'est d'abord un prélat milanais que le Pape Benoît XVI a appelé auprès de lui. Bibliste éminent, en charge de la Bibliothèque ambrosienne de la capitale de Lombardie, dans le plus important diocèse d'Italie, Mgr Ravasi est surtout connu dans son pays pour les multiples apparitions dans les médias : télévision, radio et presse écrite. Depuis ses chroniques pour les émissions religieuses dominicales jusqu'à ses interventions dans le quotidien L'Avvenire sous la rubrique « Mattutino », dans Il Sole et l'hebdomadaire Famiglia Cristiana. Il fait toujours preuve d'une grande faculté oratoire et d'un sens pédagogique qui rendent accessibles à son auditoire ses explications exégétiques et théologiques. Ses précédentes activités l'ont amené à une rencontre régulière des acteurs du milieu culturel, essentiellement à Milan. Mais par ses écrits, peu traduits en français, Mgr Ravasi a dépassé le cadre d'un simple public lombard. Il a composé le texte du Chemin de croix, présidé par le Pape ce Vendredi saint 2007, au Colisée (DC 2007, n. 2382, p. 580-592).
Ordonné prêtre en juin 1966 et évêque par le Pape lui-même le 29 septembre dernier en la basilique Saint-Pierre, Mgr Gianfranco Ravasi va s'atteler à sa nouvelle charge dans un esprit de continuité du travail accompli par le cardinal Poupard et de plus grande réconciliation, de rapprochement entre culture et foi.
Tout récemment, répondant à des questions de journalistes, il a précisé qu'entre l'Église et la culture, il faut abandonner la logique de la confrontation, du duel (duello) pour choisir plutôt celle du dialogue, du duo (duetto). Pour cela, il faut ramener le débat sur le terrain des grandes valeurs communes : « Il suffit de penser à des hommes comme Augustin, Pascal, Dostoïevski, géants de la culture tout court ». Ce dialogue doit exister, avec les grandes figures de non-croyants, porteurs eux aussi de valeurs. Mgr Ravasi entretient d'ailleurs une amitié avec Umberto Eco, écrivain de renommée internationale, ouvertement athée.
Le Conseil pontifical pour la Culture, que Benoît XVI avait, un temps, envisagé d'unir à celui du Dialogue interreligieux, se voit avec son nouveau président porteur d'une mission de contact et de dialogue pour rencontrer les différents partenaires, croyants ou non, dans le domaine des arts, des lettres et de la science.
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Sujet: Re: Apostasie de ratzinger : laicisme laicité peste Lun 15 Déc - 21:45
réponse Catholique:
Sa Sainteté Pie XI
Mortalium animos
6.01.1928
Citation :
“C’est quelque chose d’approchant que d’aucuns s’efforcent d’introduire dans l’ordre établi par Notre Seigneur Jésus-Christ pour la Nouvelle Loi.
Sachant parfaitement qu’il est extrêmement rare de rencontrer des hommes absolument dépourvus de sens religieux, ils nourrissent l’espoir qu’on pourrait facilement amener les peuples, en dépit de leurs dissensions religieuses, à s’unir dans la profession de certaines doctrines admises comme un fondement commun de vie spirituelle.
En conséquence,ils tiennent des congrès, des réunions, des conférences fréquentés par un nombre assez considérable d’auditeurs; ils invitent aux discussions tous les hommes indistinctement, les infidèles de toute catégorie, les fidèles, et jusqu’à ceux qui ont le malheur de s’être séparés du Christ ou qui nient âprement et obstinément la divinité de sa nature et de sa mission.
De pareils efforts n’ont aucun droit à l’approbation des catholiques, car ils s’appuient sur cette opinion erronée que toutes les religions sont plus ou moins bonnes et louables, en ce sens qu’elles révèlent et traduisent toutes également – quoique d’une manière différente – le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous incline avec respect devant sa puissance.
Outre parce qu’ils s’égarent en pleine erreur, les tenants de cette opinion repoussent du même coup la religion vraie; ils en faussent la notion et versent peu à peu dans le naturalisme et l’athéisme.
Il est donc parfaitement évident que c’est abandonner entièrement la religion divinement révélée que de se joindre aux partisans et aux propagateurs de pareilles doctrines.”
Sa Sainteté Pie IX
8.12.1864
Citation :
“…et en conséquence ils ne craignent pas de favoriser cette opinion erronée que... Grégoire XVI appelait délire, c’est-à-dire que la liberté de conscience et de culte est un droit libre de tout homme, qui doit exister et être proclamé et garanti dans toute société bien constituée…
Nous les réprouvons par Notre Autorité Apostolique, les proscrivons, les condamnons et Nous désirons et commandons que tous les fils de l’Eglise Catholique les tiennent pour réprouvées, proscrites et condamnées !”
Sa Sainteté Pie IX
Quanta Cura
8.12.1864
Citation :
(...) “l’indifférentisme... perverse opinion... propagé par les tromperies des méchants… erreur très pernicieuse... qui prétend qu’en n’importe quelle religion se trouve le chemin ouvert jusqu’aux portes du bonheur...pour cela vont périr sans doute éternellement ceux qui ne possèdent pas la foi catholique et ne la conservent intègre et inviolée.
De cette source très corrompue de l’indifférentisme sort cette sentence absurde et erronée, ou mieux dit délire par lequel on doit affirmer et revendiquer pour chacun l’absolue liberté de conscience...
Avec vérité Nous disons qu’est ouvert le puits de l’abîme duquel saint Jean a vu monter la fumée qui a obscurci le soleil et les vermisseaux qui vont envahir l’étendue de la terre.
Ici tient sa place cette très mauvaise et jamais suffisamment exécrée et détestée liberté de presse.
Nous sommes horrifié, Vénérables Frères, de contempler par quels monstres de doctrines ou mieux par quels monstres d’erreurs nous sommes ensevelis.”
Sa Sainteté Pie XII
Humani Generis
Citation :
“Il y a plus. Nous observons un autre danger qui est, lui d’autant plus grave qu’il est plus caché sous les voiles de la vertu.
De fait, parmi ceux qui déplorent la mésentente entre les hommes et la confusion des esprits, il en est plusieurs qui se montrent remués par un zèle imprudent des âmes :
dans leur ardeur, ils brûlent d’un désir pressant d’abattre les enceintes qui séparent d’honnêtes gens : on les voit adopter alors un «irénisme» tel que, laissant de côté tout ce qui divise, il ne se contentent pas d’envisager l’attaque contre un athéisme envahissant par l’union de toutes les forces, mais ils vont jusqu’à envisager une conciliation des contraires, seraient-ils même des dogmes.”
(Pie VII, Encyclique Post tam diuturnas, 29-4-1814)
Citation :
« Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur et l’on met au rang des sectes hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’épouse sainte et immaculée du Christ, l’Eglise hors de laquelle il n’y a pas de salut.
En outre, en promettant faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs.
C’est implicitement la désastreuse et à jamais déplorable hérésie que saint Augustin mentionne en ces termes :
«Elle affirme que tous les hérétiques sont dans la bonne voie et disent vrai, absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une secte la professe réellement.».»
Bulle " Unam sanctam ", 18 novembre 1302.
L'unicité de l'Eglise
Citation :
La foi nous oblige instamment à croire et à tenir une seule sainte Eglise catholique et en même temps apostolique, et nous la croyons fermement et la confessons simplement, elle hors de laquelle il n'y a pas de salut ni de rémission des péchés... ; elle représente l'unique corps mystique corps dont le Christ est la tête, Dieu cependant étant celle du Christ. En elle il y a " un seul Seigneur, une seule foi, et un seul baptême " Ep 4,5.
Unique en effet fut l'arche de Noé au temps du déluge, qui préfigurait l'unique Eglise ; achevée à une coudée, elle avait un seul pilote et chef, à savoir Noé, et hors d'elle, nous l'avons lu, tout ce qui subsistait sur terre fut détruit.
Nous la vénérons également comme l'unique, car le Seigneur dit dans le prophète : " Dieu, délivre mon âme de l'épée, et des pattes du chien mon unique " Ps 22,2.
Car il a prié à la fois pour l'âme, c'est-à-dire pour lui-même, la tête, et pour le corps, puisque le corps il l'a appelé l'unique, c'est-à-dire l'Eglise, à cause de l'unité de l'époux, de la foi, des sacrements, et de la charité de l'Eglise. Elle est cette " tunique sans couture " Jn 19,23 du Seigneur qui n'a pas été déchirée, mais tirée au sort.
C'est pourquoi cette Eglise une et unique n'a qu'un seul corps, une seule tête, non pas deux têtes comme pour un monstre, à savoir le Christ et le vicaire du Christ, Pierre, et le successeur de Pierre, car le Seigneur dit à Pierre lui- même : " Pais mes brebis " Jn 21,17.
Il dit " mes " en général, et non telle ou telle en particulier, d'où l'on comprend que toutes lui ont été confiées. Si donc les Grecs ou d'autres disent qu'ils n'ont pas été confiés à Pierre et à ses successeurs, il leur faut reconnaître qu'ils ne font pas partie des brebis du Christ, car le Seigneur dit lui-même en Jean : " il y a un seul bercail, un seul et unique pasteur " Jn 10,16.
Le pouvoir spirituel de l'Eglise.
Les paroles de l'Evangile nous l'enseignent : en elle et en son pouvoir il y a deux glaives, le spirituel et le temporel Lc 22,38 Mt 26,52
.. Les deux sont donc au pouvoir de l'Eglise, le glaive spirituel et le glaive matériel. Cependant l'un doit être manié pour l'Eglise, l'autre par l'Eglise. L'autre par la main du prêtre, l'un par la main du roi et du soldat, mais au consentement et au gré du prêtre. Or il convient que le glaive soit sous le glaive, et que l'autorité temporelle soit soumise au pouvoir spirituel... Que le pouvoir spirituel doive l'emporter en dignité et en noblesse sur toute espèce de pouvoir terrestre, il nous faut le reconnaître d'autant plus nettement que les réalités spirituelles ont le pas sur les temporelles... Comme la Vérité l'atteste : il appartient au pouvoir spirituel d'établir le pouvoir terrestre, et de le juger s'il n'a pas été bon...
Si donc le pouvoir terrestre dévie, il sera jugé par le pouvoir spirituel ; et si un pouvoir spirituel inférieur dévie, il le sera par celui qui lui est supérieur ; mais si le pouvoir suprême dévie, c'est par Dieu seul et non par l'homme qu'il pourra être jugé, comme l'atteste l'Apôtre : " L'homme spirituel juge de tout, et n'est lui-même jugé par personne " 1Co 2,15.
Cette autorité cependant, bien que donnée à un homme et exercée par un homme,n'est pas un pouvoir humain, mais bien plutôt divin. Donné à Pierre de la bouche de Dieu, confirmé pour lui et ses successeurs dans le Christ lui- même qu'il a confessé, lui, le roc, lorsque le Seigneur dit à Pierre lui-même : "Tout ce que tu lieras", etc. Mt 16,19.
Quiconque par conséquent résiste à ce pouvoir ordonné par Dieu, "résiste à ce que Dieu a ordonné" Rm 13,2, à moins qu'il n'imagine, comme Manès, deux principes, ce que nous jugeons faux et hérétique, car au témoignage de Moïse ce n'est pas dans les principes, mais " dans le principe (que) Dieu a créé le ciel et la terre " Gn 1,1.
En conséquence nous déclarons, disons et définissons qu'il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d'être soumise au pontife romain.
http://catho.org/9.php?d=g0#bf4
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Sujet: Re: Apostasie de ratzinger : laicisme laicité peste Lun 15 Déc - 21:47
Citation :
La peste de notre époque c’est le laïcisme.
(Pie XI, Encyclique Quas primas, 11-12-1925)
Erreurs qui se rapportent au libéralisme moderne. Propositions condamnées.
Citation :
“LXXVII. A notre époque, il n’est plus utile que la religion catholique soit considérée comme l’unique religion de l’État, à l’exclusion de tous les autres cultes. (Alloc. Nemo vestrum du 26 juillet 1855).”
Pie IX, Syllabus, 08.12.1864
Citation :
…Mais, pour en revenir à cette funeste loi sur les “Confessions religieuses et les Congrégations”, grande a été Notre douleur, en constatant que les législateurs ont ouvertement affirmé dès le début que l’État n’a aucune religion particulière et que, par suite, ils voulaient confirmer et ratifier le principe de la séparation de l’Église et de l’État… Sans nous arrêter longtemps sur ce point, Nous voulons tout de suite affirmer combien sont loin de la vérité et se trompent ceux qui tiennent pour permise en soi et bonne pareille séparation…
Pie XI, Dilectissima Nobis
Citation :
« Le jour où États et Gouvernements se feront un devoir sacré de se régler dans leur vie Politique, au-dedans et au dehors,
sur les enseignements et les préceptes de Jésus-Christ, alors, mais seulement alors, ils jouiront à l’intérieur d’une paix profitable,
entretiendront des rapports de mutuelle confiance, et résoudront pacifiquement les conflits qui pourraient surgir...
La paix chrétienne se confond avec la paix divine et par là-même prescrit le respect de l’ordre, de la loi et de l’autorité.
Nous lisons, en effet, dans l’Ecriture : « Conservez la discipline dans la paix.» (Eccl. 41, 14) ;
« la paix comble ceux qui chérissent votre loi, Seigneur.» (Ps. CXVIII, 165) -
« Celui qui a le respect de la loi vivra dans la paix.» (Prov. XIII, 13).»
(Pie XI, Encyclique Ubi arcano, 23-12-1922)
Citation :
« Et contre la doctrine de la Sainte Ecriture, de l’Eglise et des Saints Pères, ils affirment sans hésitation que :
« La meilleure condition de la société est celle où on ne reconnaît pas au pouvoir le devoir de réprimer, par des peines légales, les violations de la loi catholique, si ce n’est dans la mesure où la tranquillité publique le demande.».
A partir de cette idée tout à fait fausse du gouvernement des sociétés, ils ne craignent pas de soutenir cette opinion erronée, funeste au maximum pour l’Eglise catholique, et le salut des âmes, que Notre prédécesseur Grégoire XVI, d’heureuse mémoire, qualifiait de délire :
« La liberté de conscience et des cultes est un droit propre à chaque homme.
Ce droit doit être proclamé et garanti par la loi dans toute société bien organisée.
Les citoyens ont droit à l’entière liberté de manifester hautement et publiquement leurs opinions quelles qu’elles soient, par les moyens de la parole, de l’imprimé ou toute autre méthode sans que l’autorité civile ni ecclésiastique puisse lui imposer une limite.»
(Pie IX - Quanta Cura n° 5)
Citation :
« Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur et l’on met au rang des sectes hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’épouse sainte et immaculée du Christ, l’Eglise hors de laquelle il n’y a pas de salut.
En outre, en promettant faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs.
C’est implicitement la désastreuse et à jamais déplorable hérésie que saint Augustin mentionne en ces termes :
«Elle affirme que tous les hérétiques sont dans la bonne voie et disent vrai, absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une secte la professe réellement.».»
(Pie VII, Encyclique Post tam diuturnas, 29-4-1814)
nous citons UNAM SANCTAM:
Citation :
Les paroles de l'Evangile nous l'enseignent : en elle et en son pouvoir il y a deux glaives, le spirituel et le temporel Lc 22,38 Mt 26,52 ...
et que l'autorité temporelle soit soumise au pouvoir spirituel...
Nombre de messages : 19893 Localisation : La Nouvelle Jérusalem. Date d'inscription : 07/02/2006
Sujet: Re: Apostasie de ratzinger : laicisme laicité peste Lun 13 Aoû - 17:59
Ils sont sortis du milieu de nous
Certains prennent prétexte des polémiques entre Catholiques intégraux (sédévacantistes), voir de ceux-ci avec d’autres, pour déserter le combat ou ne pas les rallier voir pour les rallier un temps (en apparence) puis les quitter, car disent-ils “ils manquent de Charité“. La divine Ecriture nous met en garde:
Mes petits enfants, c’est la dernière heure. Comme vous avez appris que l’antéchrist doit venir, aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c’est la dernière heure. Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres ; car s’ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais ils en sont sortis, afin qu’il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres.
Ne nous peinons donc pas, mais prions pour ceux qui ont quittés Le chemin de salut, si toutefois ils s’y étaient un jour véritablement engagés.
Le véritable soldat du Christ ne déserte jamais le bon combat, le faux frère oui.