« La liberté religieuse est née du christianisme »
Pas la liberté religieuse entendue selon Dignitatis Humanæ personæ : mais celle qui correspond à « la liberté et l’exaltation de notre Mère la Sainte Église Catholique » !
La liberté religieuse entendue selon Dignitatis Humanæ personæ est la liberté pour tout homme de faire et dire n’importe quoi dès lors que l’ordre public (appelé hypocritement “juste”) est sauvegardé. Ce qui n’est que le libertinage généralisé !...
Tandis que la liberté religieuse qui est née du christianisme, c’est-à-dire du catholicisme, est celle qui donne à l’homme la possibilité de suivre la vraie Religion : la Religion catholique.
La liberté religieuse entendue selon Dignitatis Humanæ personæ est la liberté pour tout homme de suivre ses erreurs, c’est-à-dire ses esclavages qui l’empêchent d’atteindre la fin pour laquelle il est créé : Dieu qui est la Vérité même !
Le libertinage généralisé de Dignitatis Humanæ personæ n’est que l’esclavage des passions et des erreurs !...
La liberté religieuse qui est née du catholicisme est celle qui donne à l’homme la possibilité d’atteindre la fin pour laquelle il est créé : Dieu qui est la Vérité même !
En fait, la liberté religieuse entendue de façon catholique ne relève pas de ses applications pratiques bien sûr (un principe ne peut pas relever de ses applications) mais elle relève des principes de Droit... Autrement dit, la liberté religieuse ne peut s’exercer, en droit, exclusivement que dans la seule Religion catholique, même, pour ce qui est des principes du droit (si ce n’est dans les faits des applications pratiques qui relèvent de l’hypothèse – et non de la thèse du droit – mises en œuvre par les vertus de prudence et de justice en fonction des circonstances) si l’ordre public en est perturbé !
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Jean-Paul BONTEMPS
Pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de Notre-Dame, par le triomphe de notre Mère la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, laquelle est traditionnelle (telle qu'avant le conciliabule vaticandeux) et non moderniste.
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Il n’y a pas de liberté, sinon dans la vérité; la “liberté” de l’erreur est le délire de la liberté de la perdition. » (
Sodalitium, calendrier 2013, p. 5.)
«
car la liberté nous est donnée pour choisir tel bien plutôt que tel autre, et non pas entre le bien et le mal qui marque plutôt un infirmité de notre liberté. » (
CATÉCHISME MARIAL - Par Henri-Marie Guindon, S.M.M. - 1947 - p.14.)